QUE VA DEVENIR L’IRAN ?
Les dés sont jets, les Mollahs ont choisi leur candidat. L’ancien titulaire du poste de président est passé, les partisans du candidat réformateur manifestent violemment dans la capitale iranienne et dans d’autres localités. Mais la police les réprime très durement.
Pourquoi de tels troubles ? pour la bonne raison qu’une grande partie de la population, qui a moins de trente ans, refuse qu’on la frustre de sa victoire et n’accepte pas les fraudes électorales qui paraissent évidentes : comment un homme si contesté dans le pays a-t-il pu être si confortablement élu au premier tout, à, dit-on, 63% des suffrages ?
QUE VA DEVENIR L’IRAN ?
Les dés sont jets, les Mollahs ont choisi leur candidat. L’ancien titulaire du poste de président est passé, les partisans du candidat réformateur manifestent violemment dans la capitale iranienne et dans d’autres localités. Mais la police les réprime très durement.
Pourquoi de tels troubles ? pour la bonne raison qu’une grande partie de la population, qui a moins de trente ans, refuse qu’on la frustre de sa victoire et n’accepte pas les fraudes électorales qui paraissent évidentes : comment un homme si contesté dans le pays a-t-il pu être si confortablement élu au premier tout, à, dit-on, 63% des suffrages ?
De sombres nuages vont s’accumuler sur la maison iranienne ; tant en politique intérieure qu’en politique extérieure. Les USA et d’autres n’accepteront jamais la poursuite de la politique d’Ahmaninedjad, lequel va devoir donner des gages à ses électeurs en pratiquant son sport favori, la fuite en avant. Avec une situation économique catastrophique, des menaces extérieures et la condamnation des Nations Unies, l’Iran devient une sorte de Corée du Nord.
La suite n’est guère encourageante