QUE FAIRE DE LA TAXE CARBONE ?
Que se passe-t-il ? Le monde entier souhaite rouler propre, émettre le moins de CO2 possible dans l’atmosphère et voilà que tous crient haro sur le baudet lorsque des mesures sont prises pour limiter les dommages.
Plusieurs raisons à cela : le nouveau pouvoir , élu depuis un peu plus de deux ans, a promis de ne pas lever de nouveaux impôts, l’imposition, de son propre aveu, ayant atteint dans l’Hexagone, un niveau confiscatoire.
QUE FAIRE DE LA TAXE CARBONE ?
Que se passe-t-il ? Le monde entier souhaite rouler propre, émettre le moins de CO2 possible dans l’atmosphère et voilà que tous crient haro sur le baudet lorsque des mesures sont prises pour limiter les dommages.
Plusieurs raisons à cela : le nouveau pouvoir , élu depuis un peu plus de deux ans, a promis de ne pas lever de nouveaux impôts, l’imposition, de son propre aveu, ayant atteint dans l’Hexagone, un niveau confiscatoire.
La seconde raison tient au nom lui-même : pourquoi avoir laissé les fonctionnaires de Bercy utiliser le mot taxe qui éveille des souvenirs peu agréables aux yeux et aux oreilles des contribuables ? En son temps, M. Michel Rocard avait prélevé un impôt nouveau qu’il avait intelligemment nommé CSG (contribution sociale généralisée). Je ne dis pas que cela a été bien pris, mais cette façon de dorer la pilule (qu’on me pardonne cette expression triviale) était d’une grande adresse.
La troisième raison tient aussi à cette cacophonie à peine croyable, au point que l’on peut légitimement se demander s’il n’avait pas eu concertation préalable pour produire l’effet que l’on sait …
Je laisse à de véritables experts de juger de l’opportunité ou non de cette taxe ; mais une chose est sûre : on ne peut pas rester sans rien faire. Il faut réagir et préparer l’après-pétrole
La politique, disait Winston Churchill, c’est l’art du possible, mais c’est un possible qui est diablement compliqué.