La nature et la campagne électorale aux USA
Nul n’aurauit pu prévoir cette calamité naturelle et ses éventeulles conséquences sur les élections présidentielles aux USA : un éventuel report de l’élection est-il envisageable ? N y aura-t-il pas des recours, quoi qu’il arrive ? La chose doit être envisagée avec sérieux.
Même la plus grande puissance mondiale n’est pas à l’abri des violents caprices de la nature. Certes, les USA auxquels nous souhaitons bonne chance en ont vu d’autres et s’en sont tirés avec tous les honneurs. Mais tout de même, quel traumatisme ! Un président en exercice contraint de revêtir en catastrophe ses habits présidentiels, un challenger, si proche du but, contraint lui aussi de s’en remettre au destin. L’imprévu qui règne sans partage.
Même les plus pessimistes ne pouvaient pas envisager pareille chose. Les images en boucle des télévision américaines nous laissent pantois. La plus grand ville du monde, la ville qui ne dort jamais, New York, tous feux éteints, victime d’un véritable déluge. Et plusieurs centaines de milliers d’habitants contraints de partir, le temps que la nature se calme.
Du jamais. C’est toute la dialectique entre la puissance et la sagesse. Souvenez vous du sociologue Georges Friedmann.