On se demande comment qualifier la demande de M. Obama de traiter correctement le président déchu Morsi, celui là même sur lequel les USA avaient misé afin de sauver leurs bonnes relations avec le pays du Nil. Naïveté, cynisme qui se fait passer pour de l'amitié compatissante? On s'interroge. Ceux qui ont sacrifié Moubarak sans ciller n'ont jamais demand s'il se sentait dans sa cellule médicalisée, lui qui les avait servi une bonne trentaine d'années… N'y voyez pas la moindre pointe d'anti américanisme, je fais partie des amis des USA mais les présidents US m'ont toujours sidéré (G.W. Busch excepté), lui au moins a su secoué les choses et aller de l'vant.
C'est bien de veiller sur la démocratie, mais c'était tout le contraire de cela avec les Frères musulmans qui partent d'un postulat vici à la base: la religion est la panacée, c'est une erreur, il faut séparer les croyances de la politique et de l'économie, et c'est un croyant en D- qui l'écrit. Aueune théocratie n'a réussi, pas même celle du royuame de Judée.
Si les généraux égyptiens dont j'ai toujours dit qu'ils tissaient leur toile en secret, sont intervenus, c'est contraints et forcés, il n y avaiy plus d'ordre public en Egypte, le président déchu a utilisé toute cette année à infiltrer la haute administration et il avait commencé à le faire avec les rangs de l'armée. On lui a dit stop brutalement.
Tous reconnaissent que M. MOrsi n'avait pas de programme, sinon d'islamiser le pays qui est déjà musulman. Certes, la prière peut beaucoup, mais elle peut surtput faire tomber la pluie. Et bénir les récoltes, mais pour récolter il avait avoir semé. Et pour ce faitre il fait retrousser ses manches. D- ne l'a encore jamais fait pour nous.
Souhaitons à ce beau pays qu'est l'Egypte de la paix, de l'espoir et enfin une prospérité tant méritée.