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  • Restaurer la crédibilité des USA et de l'Occident

    REstaurer la crédibilité de l'Occident...

    Ce n'est pas la première fois que l'on pointera iciles défaillances et les déficiences de l'actuel président US: quand on est un grand homme d'Etat, on ne suit pas les variations de l'opinion publique. On agit. Deux tendances contradictoires semblent avoir animé les responsables US et M. Obama n'a pas eu l'autorité nécessaire pour trancher.

    On lui a expliqué quil avait parlé deligne rouge mais que les Syriens l'avaient maintes frnahcie, en dépit de ses mises en garde. Que fallait il faire? Attendre que BAchar élargisse sur une très grande échelle le recours aux armes chilmiques? Et surtout on a expliqué à ce président que la Corée du Nord et l'Iran le guettaient, le surveillaient à laloupe. C'est cela qui l'a incité à agir.

    Mais comment voulez vous que les frappes aient de l'effet lorsque le commandant en chef en relativise lui-même considérablement la portée? Comment voulez vous que BAchar tremble lorsqu'il entend Obama dire qu'il ne veut pas sa chute? Comment voulez vous que les insurgés syriens ne maudissent pas en leur for intéreur le nom de ce président US qui voir mourir leurs enfants sans rien faire?

    Je trouve bien meilleur le discours de John Kerry qui a dit que l'on ne peut accepter un monde où l'on gaze des enfants qui n'ont rien fait sinon jouer dans la cour de récréation d'une zone enue par les rebelles..

  • La grande confusion autour de la Syrie

    La grande confusion autour de la Syrie

    Si au moinscette avlse hésitation conduisait le tyran de Damas à s'amender et à respecter son peuple, alors, cette confusion serait bienvenue. Mais en réalité, même si les USA vont de toutes manières y aller, il aurait fallu éviter cet immense battage médiatique qui n'avait plus qu'ç ajouter la date et les lieux exacts de la réaction occidentale. Il ne fallait pas agir de la sorte.

    Que va t il se passer désormais? Les USA vont agir. Est ce bien, est ce mal? Les deux options se défendent. Car si l'attaque intervient vraiment, les conséquences sont dures mais pas incalculables, ni la Syrie ni l'Iran ne sont en mesure de réagir fortement. Mais si rien ne se passe, alors BAchar se sentirait reagaillardi, les Occidentaux passeraient des impuissants et des incapables aux yeux des Orientaux et l'opposition syrienne, tant politique que militaire, serait désespérée.

    Dans un cas comme dans l'autre, l'affaire a été mal engagée. Mais je ne vois pas le Pr Obama rester inerte, ce serait la fin de sa crédbilité à tout jamais. Or, il est encore à  la tête des US pour trois longues années..

    Et puisq eulel beptise: annoncer des frappes alors que les experts de l'ONU sont encore sur place!!

    Quant au vote (non contraignant) du parlement britannique, il ne faut pas en surévaluer l'importance: sans agir  visiblement, les Britanniques peuvent agir en coulisses, surveillant l'espace aérien syrien, espionnant les communications entre les unités militaires et assurant les arrièresde l'armée US. Et puis l'Amérique peut très bien agir seule

    Ici, en Israël, la vie coule comme un long fleuve tranquille. Hier soir, les gens vaquaient à leurs occupations, faisant leurs emplettes pour lez chabbat. Mais le gouvernement a discrétement rappelé quelques milliers de réservistes afin de parer à toute éventualité.

  • Un recul ou une attente stratéigique d'Obama

    Les USA et la Grande Bretagne ne reculent pas, ils attendent simplement les conclusions et le départ des experts de l'ONU. Ce serait manifester une sorte d'ostracisme à l'égard d'un pays tout entier, alors que c'est le régime baassiste actyuel qui est jugé criminel.

    Evidemment cela ne renforce pas l'image d'un président Obama fort et déterminé, ce que cet homme n'a jamais été et ne sera probablement jamais. D'abord par son inexpérience et ensuite en raison de la situation intérieure américaine. Or, on sent de plus en plus cette volonté de désengagement des USA de tous les théâtres d'opération dans le monde. Le contribuable US ne veut plus payer pour les autres. C'est une sorte de doctrine Monroe revisitée.

    Certains citoyens US vont jusqu'à dire que les campagnes d'Irak et d'Afghanistan ont été des erreurs et un fiasco. D'autres considèrent simplement que les USA ne sont pas le gendarme du monde.

    Il faudra que l'Europe prenne la relève. Après tout l'Europe en aura les moyens puisque sa pupulation dépasse , et de loin, celles des USA.

    Les grands hommes d'Etat se trouvent de ce côté ci de l'Atlantique.