Les viols de femmes berlinoises en avril mai 1945 par les soldats soviétiques
Hier soir, veille du Ier mai, une grande chaîne de la télévision française a projeté un impressionnant reportage avec des images d’époque et des interview relatant les expériences horribles de femmes violées en avril/ mai 1945 par les troupes soviétiques lors de la conquête de la capitale du IIIe Reich.
C’est peu dire que de souligner le caractère si émouvant de ces femmes, devenues septuagénaires ou octogénaires, évoquant leur calvaire enduré alors qu’elles étaient encore jeunes et belles. Toutes ont fait preuve d’une grande dignité en évoquant, toutes larmes retenues, le traitement dégradant qu’elles subirent, parfois durant de longues semaines. Et quand elles ne témoignaient pas directement, ce furent leurs filles ou leurs sœurs qui le firent, avec la même émotion contenue.
Vu de la place Victor-Hugo - Page 1228
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Les viols de femmes berlinoises en avril mai 1945 par les soldats soviétiques
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LE BRIN DE MUGUET DU PREMIER MAI…
LE BRIN DE MUGUET DU PREMIER MAI…
Je n’ai pas mis trop de temps à me décider ! Entre le jugement de Fofana, les défilés qui promettent d’être plutôt chauds du Ier mai et ce petit symbole de renaissance, d’amitié et de bonheur, il n’y avait vraiment pas d’hésitation : ce sera le petit brin de muguet. Et au fond, s’il fallait choisir une nouvelle vie, un nouveau métier, ce ne sera pas l’université ni l’érudition, mais cueillir et emballer le brin de muguet
En passant d’une chaîne à l’autre, je me suis par hasard arrêté sur LCI et j’ai pu écouter un sympathique jardinier barbu (dont j’ai oublié le nom et que je voyais pour la première fois) vanter, avec une gouaille bien parisienne, les mérites et les effets apaisants du muguet. J’ai pu appendre que cette petite affaire totalisait chaque année -tout de même- 26 millions d’Euros et qu’un million d’internautes s’offraient des brins de muguet virtuel… Tout un programme. -
LA NATURE DU CRIME DE YOUSSOUF FOFANA ET DU GANG DES BARBARES
LA NATURE DU CRIME DE YOUSSOUF FOFANA ET DU GANG DES BARBARES
On ne parle plus que de ce procès tant l’émotion est grande, même trois après les faits qui marquèrent la France et suscitèrent une incroyable émotion. IMême les cent jours, en demi teinte, de Barack Obama, passent après. Il est vrai que l’indignation était, au moment des faits, à la hauteur du crime commis : un jeune homme de 23 ans, travaillant dans un magasin de téléphonie mobile boulevard Voltaire à Paris est aguiché par une toute jeune femme qui lui promet un rendez vous amoureux mais en réalité lui tend un piège mortel : il suit celle qui l’entraîne dans un appartement sordide de banlieue où l’attendent le sinistre Fofana et une partie de son gang.