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Vu de la place Victor-Hugo - Page 316

  • Bachar el Assad et la Syrie de demain 

    Certains parlent d’une véritable résurrection, d’un phénix renaissant de ses cendres, d’autres jugent avec dégoût qu’il n’est pas digne de voir la lumière du jour, tant il a causé de malheurs et de destructions : plusieurs centaines de milliers de morts et des millions des déplacés. Ce qui a fait du peuple syrien un peuple éclaté, dispersé sur toute la surface du globe, une véritable diaspora. Mais les observateurs attentifs et impartiaux mettent de côté leur légitime indignation pour ne s’attacher qu’à la saisie de ce phénomène politique rare.

    Voyons cela de plus près, à savoir comment un jeune étudiant en ophtalmologie à Londres, timide et réservé, sans aucune expérience politique et peu destiné à jouer le moindre rôle politique a sauvé sa vie et son pouvoir présidentiel, alors qu’on ne donnait plus très cher de sa peau.

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  • L’Europe a-t-elle encore un avenir ?

    L’Europe a-t-elle encore un avenir ?  Telle est la question de plus en plus angoissante que les gens se posent dans le vieux continent, menacé par d’incessantes arrivées de migrants et de réfugiés et hanté par des attaques au couteau quasi quotidiennes, à Paris,  Bruxelles, Barcelone, Berlin, Hambourg, Milan,  Londres, Rotterdam, Turku, Helsinki et ailleurs.

    Il y tout juste deux ans, la vieille Europe croyait que ces attaques ne concernaient que Tel Aviv, Haïfa ou Beersheba, à savoir les cités israéliennes. Les gouvernements européens découvrent avec stupéfaction que cette maladie est mondiale et que nul n’est à l’abri. Comment en sommes nous arrivés là ?

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  •  France : les aléas de toute présidence jupitérienne…

    Je me demande vraiment à quoi pensait l’actuelle président de la République en énonçant cette phrase dont le contenu va lui causer quelques désagréments tout au long de son mandat élyséen. C’est étrange, comme l’entrée à l’Elysée change les hommes, tous, à l’exception peut-être du général de Gaulle qui n’eut nullement besoin de se déguiser en chef des armées, il l’était déjà naturellement et professionnellement.

    L’exercice du pouvoir, nous dit-on, change un homme, le révèle tel qu’il est en ses profondeurs les plus intimes. Et le résultat n’est pas toujours engageant. On l’a vu avec le prédécesseur immédiat de l’actuel président : et qui sait ce que l’avenir nous réserve ? Quand on veut le pouvoir et qu’on finit par le conquérir (et après tout certains sont faits pour cela) on devrait prendre un peu de distance et ne pas s’en nourrir car cela ne dure qu’un temps et après on a rendez-vous avec le dégrisement, la solitude et la fin… réservée aux simples mortels que nous sommes.

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    Lien permanent Catégories : France