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  • A Ferrare, samedi et dimanche

    A Ferrare, samedi et dimanche

     

    Quelle ville, quelle douceur de vivre, quelle élégance et quel raffinement ! Cette Italie du nord est un joyau !

    Samedi, nous sommes allés dans la petite synagogue de Ferrare pour la prière du chabbat. C4était minuscule, environ quatorze hommes dont trois petits enfants et un peu plus de femmes.

    J’étais assez peine dé voir le judaïsme réduit à une portion si congrue ; il faut dire que l’Eglise catholique, la guerre, la déportation et les conversions se sont chargés de nous conduire à un tel résultat.

    Vers la fin de l’office, le rabbin a fait venir deux garçons et une petite fille pour chanter le beau cantique de Adon ‘olam asher malkah (voir à ce sujet mon livre La liturgie juive, QSJ ? PUF, 1996) Ces voix vibrantes m’ont redonné du courage.

    Après ce fut la belle réception avec la nuit blanche dans les rues de Ferrare, on a vu les lieux de tournage des Jardins des Fizi-Contini, les lieux où se trouvaient Georgio Bassani et Ferrare by night.

    En nous promenant dans les rues du Ghetto juif (comme on dit là-bas), j’ai pou voir l’ancienne synagogue hispano-portugaise, que les expulsés d’Espagne ont investi en novembre 1492 lorsque les catholiques d’Espagne ont signé le décret d’expulsion. Plus d’un demi millénaire.

    Le dimanche, ce fut la remise du Prix en présence du Maire de Venise, de celui de Ferrare et des notables locaux. La cérémonie eut lieu dans l’ancienne prison de Ferrare, aménagée en musée culturel juif. Après mon allocution, une vieille dame dit sa volonté de prendre la parole. A la tribune, elle témoigne, elle a vécu dans cette prison neuf années, son père en était le directeur, il lui parlait souvent de Bassani qu’il respectait mais qui était un anti-fasciste… Tout le monde retint son souffle.

    On m’a aussi présenté la fille de Bassani, elle vit à Sceaux avec son mari, en France ! Nous avons échangé nos adresses afin de nous revoir à Paris ou à Genève…

  • Le Don Giovanni de Ferrare

    Le Don Giovanni de Ferrare

    C'est l'adresse préférée des gourmets de ferrare ou en visite danc ette charmante petite ville.

    Vous y serez accueilli par le charmant et très compétent Marc qui est polyglotte.

    Il vous fera déguster toutes sortes d'escellents vins de sa région et surtout vous offrira un champagne bilogique comme vous n'en aurez jamais bu. C'était assez remarquable. Ce restaurant est le seul de la ville à avoir depuis 2003 une étoile au Michelin. Et à l'avoir gardée.

    Ne mangeant que du poisson, je ne puis vous parler des mets carnés, mais si ces derniers sont à la hauteur des précédents alors cet établissement est la pardis de la gastronomie.italienne.

    Le restaurant est situé non loin du château du duc d'Este. Dans une splendide cour intérieure sous une magnifique verrière.

    ALORS VIVE LE dON gIOVANNI ET VIVE mARC DONT L accueil est sensationnel.

  • Ferrare, ses vélos et sa pinacothèque

    Ferrare, ses vélos et sa pinacothèque

     

    Là où je me trouve se situe l'ancienne cité médiévale. L'immense château du Duc surplombe la place de la république, véritbale zone piétonne.

    Non loin se trouve cette superbe pinacothèque qui renferme des térsors. Jè y étais ce matin. Les tableaux sont extraordinaires mais il y avait trop de représentations religieuses, notamment chrétiennes, le Christ sous toutes ses formes, notamment la crucifixion et la mise au tombeau.

    Il y a aussi ceertains tableaux représentant la Vierge à l'enfant et d'autres exclusivement féminins avec que des reproductions de femmes.

    Tous ces tableaux remontent à 1400, 1500. Incroyable.

    Et nous étions presque seuls à contempler ces trésors.

    A côté de cela, j'ai vu des ceènes adorables avec des Italiens qui sont des gens très bien éduqués, très élégants. J'ai encore acheté des choses, pas chers du reste.

    Il y avait en face de moi un couple qui prenait lappritif et alors le téléphone sonne l'homme répond et il se met à faire des gestet àparler avec ses mains commes'il était en présence de son interlocuteur. Pour un parisien ou genévois habitué à moins de démonstration, c'est nouveau. Maia aussi, si agrébale.