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  • Alexandre ADLER, maître de la géopolitique

    Sans commettre d’injustice envers d’autres spécialistes de cette discipline qui semble faire florès cet an ci, mon ami Alexandre Adler se révèle l’un des plus grands maîtres de cette approche de l’histoire ancienne ou contemporaine en montrant l’enchaînement des causes, la portée universelle des effets et l’intrication, parfois indémêlable, des événements qui se produisent sous nos yeux, sans que l’on sache vraiment ce qu’ils signifient ou ce qu’ils annoncent. Et si le lecteur veut bien se donner la peine de lire patiemment cet ouvrage si vaste et si bien écrit, il sera époustouflé par la science historique de l’auteur.

    Le temps des apocalypses (Grasset)

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  • Le temps des apocalypses d'Alexandre Adler (Grasset)

  • François-Xavier Bellamy : Demeure… (Grasset) Dans un monde où tout bouge, où trouver un point d’ancrage ? Sommes nous condamnés à pro-gresser éternellement ?

    François-Xavier Bellamy : Demeure… (Grasset)

    Dans un monde où tout bouge, où trouver un point d’ancrage ? Sommes nous condamnés à pro-gresser éternellement ?

                                                                                          Pour Pascal et Annette, en amitié.

    Avant d’entrer in medias res, citons ce bref passage qui explique le titre même de cet ouvrage : Nous avons besoin d’une demeure, d’un lieu où se retrouver qui devienne un lieu familier, un point fixe, un repère autour duquel le monde entier s’organise. La maison est le centre construit par une liberté…(p 166)

    Ce passage est crucial pour comprendre l’orientation de la pensée de M. Bellamy, d’autant que peu auparavant, il nous donne une définition, la sienne, du conservatisme et des conservateurs, faisant échec au sens vulgaire généralement conféré à l’idée même de conserver. On l’aura compris, dans sa croisade contre ce qui semble être devenu la religion du mouvement, l’auteur privilégie l’avancée raisonné, contrôlée, bien réfléchie de l’homme, empli d’une conscience, animé d’une vision et porteur d’un projet. Aucun homme ne peut être la copie conforme d’un autre homme, tant la conscience humaine est irréductible à une autre… Au fond, comme il l’écrit au terme de très touchants développements à la fin du livre, M. Bellamy a trouvé son Ithaque…

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