LA FRANCE, MALADE DE SES BANLIEUES ?
La rentrée approche et les problèmes qu’elle véhicule généralement, aussi. Il y a eu, depuis quelques semaines des événements graves qui se soldés par la mort d’un adolescent dans une banlieue parisienne au point que le Ministre de l’Intérieur a décidé de réunir une table ronde entre les jeunes des banlieues et les représentants de la police. Il faut saluer cette initiative en espérant qu’elle empêchera aussi la survenue d’autres événements graves. Mais en fait quel est l’enjeu ?
Il faudrait tout reprendre ab ovo. On connaît l’enchaînement des faits : pendant les années d’expansion économique, on a eu besoin de main d’œuvre et on a fait venir des ressortissants d’anciennes colonies d’Afrique noire et d’Afrique du Nord. Durant le septennat de M. Giscard d’Estaing, il y eut cette fameuse loi du regroupement familial en laquelle certains experts (dont je ne suis pas) voient la source, l’origine de tous les maux actuels. Mauvais accueil, promiscuité, entassement de populations différentes dans de lointaines banlieues (ce terme même est moche et devrait être remplacé !) loin de tout, créant des îlots à la fois de précarité et aussi, hélas, d’insécurité. Selon certains, ces travailleurs firent venir du pays des gens avec lesquels ils n’avaient que très peu de liens familiaux, créant en métropole de graves problèmes d’adaptation sociale et culturelle.
-
-
LADY DIANA : DIX ANS DEJA.
LADY DIANA : DIX ANS DEJA.
Je me souviens, comme si c’était hier, de l’annonce de la mort de Lady Diana dans des circonstances tragiques, à Paris, à la fin du mois d’août. Cela fait déjà dix ans. Si j’en parle ce matin ici, c’est parce que j’ai pu voir hier une émission sur la chaîne française Antenne 2 qui lui a été consacrée. En soi, l’émission, remarquablement préparée et présentée, n’apportait pas de révélations renversantes. Mais j’ai pu découvrir des aspects étonnants du caractère de la défunte princesse que j’ignorais…
Le journaliste qui a présenté et animé l’émission voulait insister sur un point, passé presque inaperçu du grand public : la défunte princesse aimait en réalité un médecin pakistanais rencontré fortuitement dans un hôpital de Londres et avec lequel elle rêvait de refaire sa vie. Il semblerait qu’après quelque temps d’une grande passion, leur idylle ait été découverte, les exposant à l’insatiable curiosité des photographes. Le médecin pakistanais s’en serait offusqué et aurait rompu avec la princesse. Livrée à elle-même, celle-ci aurait accepté l’invitation du magnat égyptien al-Fayyed à passer quelques jours sur son yacht… C’est seulement après que le fils de ce dernier entre en scène.
Ce qui est étonnant dans l’affaire, c’est que la princesse aurait voulu par toutes ces photos et ces passages à la télévision exciter la jalousie du pakistanais dont elle était amoureuse afin qu’il lui revienne… Mais alors comment comprendre que le fils al-Fayyed qui n’aurait été (si j’ai bien compris) qu’un simple pion dans le jeu de cette femme, ait, en si peu de temps, conçu des projets sur le long terme avec celle qui est inévitablement la mère d’un futur roi d’Angleterre ? -
LE FATAH ET ISRAËL
LE FATAH ET ISRAËL
Le journal Le monde en date du 27 août consacre un intéressant article aux relations du Fatah avec Israël. Il voit en ce parti palestinien de Ramallah un partenaire qui pourrait devenir intéressant pour Israël. C’est un partenaire, lit-on, qui a compris que la lutte armée et le terrorisme ne feront pas céder Israël qui est une réalité incontournable et indestructible du Proche Orient. Bref, selon le texte cité, le Fatah a compris et a tiré les leçons des décennies passées.