Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 7

  • Obama, la mosquée et le 11 septembre

    Barack OBAMA, la Mosquée et le 11 septembre

    On voit se passer aux USA un phénomène qui n'est pas nouveau. Mais ce qui est nouveau que la construction d'un lieu de culte musulman suscite toujours autant de problèmes. Question: l'islam ne serait il pas une religion comme une autre? Une maison de Dieu comme une autre? Un lieu où les hommes tentent de se rapprocher de l'Eternel pour se purifier et obtenir la rémission de leurs péchés?

    Je sais bien que le même problème se pose chaque fois qu'il est question d'ériger mosuqée, avec ou sans minarets.. Pourquoi donc? Pour la raison bien simple que l'Islam est perçu depuis quelque temps déjà comme une religion différente des autres confessions. C'est regrettable car cette religion a produit, comme les autres confessions, des hommes de grande valeur et des savants, des mystiques et des philosophes.

    Ce que l'on ne comprend pas aujourd'hui, c'est pour quelle raison ces hommes de grande valeur ont laissé place à des islmaistes radicaux qui compromettent la religion de tant de millions d'hommes?

    C'est justement ce problème non résolu qui risque de coûter cher à Obama puisque même les chefs de son propre parti s'insurge contre son projet de mosquée, là où la nation américiane a souffert dans sa chair et dans son sang des outrages de l'islmisme. Il est peu vraisemblable que cette mosquée voit le jour à l'endroit prévu. En revanche, M. Pbama a commis une lourde erreur d'appréciation; il suffit de lire la presse américaine pour s'en conviancre.

    Certains medias maricains parlent déjà de cartérisation. CE qui est inouï pour un jeune et fringuant président, de surcroît le rpemier d'une telle nature. On en veitn même à se demander s'il est conseillé tout simplement.

    Mais l'avenir nous le dira. Entretemps il faut espérer que l'islam donnera enfin naissance à des hommes qui sauront mettre en exergue les fondements humanistes et universalistes de leur confession. Comme tous les grands esprits des autres confessions

  • L'excellent restaurant IDI à Ashdod

    Un exemple de haute gastronomie en Israël

    Tout le monde a entendu parler du grand port d'Ashdod, ville d'environ deux cent ceinquante mille habitants, forte d'un développement extraordinaire. ON en parlé énormément en ce qui concerne une certaine flottille. Mais je voudrais vous parler d'un excellent restuarnt de poissons qui se nomme IDI et qui se trouve à l'entree sud de la ville.

    Rosine nous y a invités hier soir: tout était excellent. Les vins, les entrées, les poissons, absolument délicieux. Et j'oubliais le service qui s'est considérablement amélioré dans ce pays.

    C'était assez émouvant de voir toute cette tablée familiale, souriantes et heureuse d'être ensemble.MAis j'ai failli oublier un détail important: les desserts. Le chef nous aproposé un dessert qui était une sorte de pièce montée à trois ou quatre étages avec  un mélange de chaud et de froid, le tout sur un lit de noix et d'amandes baignant dans un excellent miel.

    Certains de mes lecteurs seront uspris que nous parlions de bonne chère, de famille et de joie de vivre. Après tout, la philosophie n'est ni austère ni génétrice de tristesse.

    Evidemment, il y a cette remarque désagréable sur le compte d'Arthur Schopenhauer, le maître de Nietzsche et l'auteur d'un excellent ouvrage intitulé Le monde comme volonté et représentation (Die Welt als Wille und Vorstellung). Il avait coutume de déplorer la fugacité de la vie sur terre devant une table bien garnie...

    Je vous recommande chaudement à la fois Schopnehauer et le restaurant IDI d'Ashdod si vous êtes dans le coin. Et encore merci à Rosine, Doudou, Ran, Irena et Sroulik de nous y avoir invités.

  • A quoi servent les vacances estivales?

    A quoi servent les longues vacances d'été?

    Chaque année nous nous posons la question: comment revenons nous de nos longues vacances, généralement passées assez loin de chez nous? Pour ma part, quand je remts les pieds dans mon logement, je fonce dans la petite pièce qui sert de bureau. J'y retrouve alors des dispsoitions de livres et de meubles qui étaient sorties de mon esprit. Petit à petit, je tente de me couler dans l'ancien moule. J'ouvre quelques carnets, feuillette quelques livres et ressens le besoin d'écrire sur un morceau de papier les livres que je dois écrire ou relire ou acehver.

    Je sens que les vacances sont vraiment derrière moi lorsque je ne sens plus passer le temps, lorsque c'est la faim qui m'indique qu'il est bien plus de 13 heures. Et puis il y a aussi l'atmosphère générale: on ne vit pas dans un certains quartier de Genève ou de Paris comme on vit dans un Mochav du Néguev ou dans un appartement du littoral israélien. Le soleil n'est jamais au rendez vous et les jours sont nettement plus courts.

    Mais malgré tout, nous ne sommes plus les mêmes: les lectures faites, les rencontres qui se sont produites, les journaux parcorus et surtout le regard jeté sur notre vieille Europe depuis l'étranger. On ne se regarde plus de la même façon.

    On a subi une mue. Et ce sont les vacances qui en sont responsables. Tant mieux. Mais ce sera bientôt lautomne avec ses pluies et son ciel bas.