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France - Page 19

  • La situation au journal Le mond

      

    La situation au journal Le monde…

    Cela ne va pas du tout. Le grand quotidien national français, paie encore et toujours les lourdes erreurs du passé. Mais il faut absolument le sauver, au besoin en oubliant ce qu’il fut pour rebâtir un nouveau quotidien, désengagé de l’idéologie et des défauts du précédent.
    Un second jour de grève, c’est du jamais vu et tout cela pour la suppression de 130 emplois ! Même les administrateurs du journal reconnaissent publiquement que durant l’ère précédente, l’ancienne direction n’a pas lésiné sur les embauches, chargeant dangereusement la barque et n’en faisant qu’à sa tête.
    Ce qu’il faut bien dire, c’est que nul, sous le soleil, ne peut se soustraire à des règles d’orthodoxie comptable ni multiplier à l’infini adversaires et ennemis. Le Monde que nous lisons depuis des décennies et auquel nous sommes toujours attachés a changé ; il a commis trop d’erreurs, s’arrogeant une sorte de saisine universelle, voire un véritable droit de censure, nationale et internationale… Je reprendrai la critique la plus séminale, la plus ramassée et la plus frappante, jamais formulée à son endroit : de contre pouvoir, Le Monde est devenu pouvoir !
    Là est l’erreur fatale. Nous avons déjà, je crois, relaté une anecdote absolument véridique : un soir, à l’Opéra de Paris, lors de l’entre acte, un important ministre du gouvernement français était assis non loin du directeur du Monde… Eh bien ! au box office des salutations, le journaliste dépassait de dix coudées son voisin, pourtant détenteur du pouvoir politique… Un fait à méditer.
    Le Monde devrait repartir du bon pied, rénover l’ensemble de ses organigrammes, sans reculer devant rien… Faire comme Nicolas Sarkozy qui réforme sans cesse. Et du coup, on se souvient du mot de Victor Hugo à l’égard de Sainte-Beuve.

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  • La libération des otages du Ponan

    Sans pousser de cocorico, on peut féliciter la Royale qui s'est acquitté avec mæstria de la mission confiée par la Président de la République; libérer les otages du Ponan sans effusion de sang. Ce fut parfaitement exécuté. Les otages sont de retour à la maison,, la rançon semble avoir été récupérée presque en totalité, et les assaillants, ces redoutables pirates des mers, ont été capturés.

    Par delà cet épisode qui aurait pu être triste et douloureux, se pose la question de la sécurité en mer, notamment au large des côtes somaliennes, mais aussi dans la détroit de Malacca et ailleurs (en mer de Chine, par exemple).

    On se souvient du calvaire des boat people livrés à eux mêmes et au bon vouloir de cruels pirates qui volaient, violaient et tuaient à loisir. Il faudrait donner une leçon sanglante à ces pirates. C'est bien que la Royale n'ait pas tué les pirates, mais n'est ce pas là un encouragement aupr!s d'autres pirates qui se diront qu'ils ne risquent rien, sinon de passer quelques années dans des geôles européennes, bien traités et bien nourris? 

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  • Le pas de clerc du Comité Olympique Française

     

      Le pas de clerc du Comité Olympique Française

        Décidément, l’attribution des JO à la Chine se révèle comme la pire ânerie jamais commise par une organisation de renommée internationale. Comment avoir pu penser que la Chine, la plus vieille civilisation du monde avec son milliard et demi d’hommes, allait se laisser fléchir et se convertir, comme un doux agneau, aux idéaux de l’Occident démocratique ?
        Après le parcours chaotique de la flamme olympique, traitée comme un passager clandestin dans les grandes capitales occidentales, voici, que le Comité Français entend interdire aux athlètes de l’Hexagone le port du badge pour un monde meilleur au motif qu’un tel insigne politiserait les JO.
    Mais cette formule figure dans la charte olympique et en plus, les athlètes avaient reçu le soutien du Secrétaire d’Etat Bernard Laporte. Décidément, ce n’est pas qu’au gouvernement qu’il y a une petite cacophonie…
    Il faut, en tout état de cause, trouver un moyen de faire fléchir le gouvernement chinois. Si nous laissons passer cette occasion rêvée des JO, jamais nous ne pourrons ramener la Chine à la raison. Ce pays a tout misé sur les JO à Pékin pour redorer son blason et bénéficier d’une couverture télévisuelle internationale pendant des semaines, avec, à la clef, des retombées  positives sur des années.
    Plusieurs chefs d’Etats et de gouvernements ont déjà menacé de ne pas assister aux cérémonies d’ouverture des JO… Peut-être devrions nous menacer de les imiter si la Chine n’assouplit pas sa position.

     

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