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Vu de la place Victor-Hugo - Page 1188

  • Le massacre des Juifs d Hebron: qutre vingts ans deja

    Le massacre des juifs d Hebron en 1929.....

    La radio israelienne a interviewe le 7 aout un rescape des massacres antisemites d hebron qui qvqit six ans au mement des faits. cet homme, devenu par la suite, officier de marine a temoigne avoir vu les emeutiers arabes egorger ses propres parents ainsi que lq auqsi totalite de la population juive de la cite des patriarches. Enfoui sous un amas de cadavres et souille de leur sangm il ne dut la vie sauve qu a la frenesie meurtiere des emeutiers avide d aller tuer d autres juifs. Sa soeurm bebe de quelaues mois passa pour morte. Mais la venue de la tante des  lles sauva. On pensait generalement que le pogrome n avait vise que les eleves des ecoles talmudiaues locales. En realite, ce fut la totalite de la population juive qui etait visee et qui subit la vengeance sanglante des emeutiers arabes. D autres survivants ont raconte leur calvaire mais le nombre des victimes se montait a plus d une centaine.

    Que toutes ces histoires ne se reproduisent plus et qu elles servent d enseignement a tous ceux quim aujourd huim detiennent une parcelle de pourvoir ou peuvent exercer une influence. Puisse cette derniere aller dans le sens de l apaisement et dans une volonte soustenue de paix et de fraternite.

    Mais je dois avouer que ce n est pas l opinion qui prevalait dans les regards croises dans la vieille ville de Jerusalem.

    Pourtant, l appel du Muezzin avait retentu juste apres l office de minha. D- n ecouterait il pas?

     

  • SDEROT

    SDEROT

    Comme je l ecrivais precedemment, je me suis rendu tout a l heure a Sderot, ville bombardee continuellement par les artifices du Hamas et que le cqndidat OBAMA avait visitee avant son election.

    La ville est modestem peu developpee et plus aucune trace des degats n est visible. Comme la chaleur est eoufante en ce dbut d apres midi avant le chabbat, les gens ne sont ps dans la rue.

    C est curieux: nous avons tant de fois vu cette ville martyre a la television et aujourd hui nous y sommes et rienm mais alors rien ne laisse deviner ce que ses habitaqnts ont endure.

    En reprenant le vehicule, j ecoute la radio nationale d4Israel qui pqrle juste;ent du congres du Fatah qui se tient a Betlehem. Etrangem les positions semblent encore plus dures que precedemment...

    Alorsm a quoi aura servi le martyr de Sderot?

  • De Jerusalem a Sderot

    De Jerusalem a Sderot

    Hierm nous avons pu nous rendre a Jetusalem ou la temperature est plus clenete qu q Tel Aviv ou la chaleur, joint a l huliditem rendent la vie penible. Le soir a Jerusalem, les gens portaient des costu;es pendant le diner et aussi dans les rues car l amplitude thermique thermique est considerable.

    Voulant nous rendre depuis le King David jusqu ay :ur dit des Lamentations (Kotel), nous prenons le chemin a pied, mais parvenus a 15 minutes environ de notre destination, un taxi nous interpelle et nous propose de monter, meme gratuitelent. Ce que je refuse, mais propose de monter s il accepte un paiement. Dans le vehiculem il nous montre en passant sa masion, la seule residence arabe du lieu, nous dit il... Il a la jeune soixantaine, a etudie chez les Freres, d ou son sxcellent francais et propose de nous conduire a Hebronm le soir meme. Je decline poliment l offre mais je me serais volontiers rendu sur la tombe du patriarche Abraham, meme j ai quelques doutes sur sa realite historiaue.

    Nous franchissons sans enco;bre les controles et je vais au kotel cote hommes et Danielle cote femmes< Je medite et em levantm je vois un vieux collegue de l4Universite de Bar ilan qui me sourit.

    Quelle coincidencem le pays des miracles, je n avais pas vu mon cher collegue depuis trois ans Religieux et prfonde;ent croyqnt, il me dit que c est lq Providence qui a permis notre rencontre. Encore la divine Providence.

    Ce matinm le petit dejeuner fut particu;li6re;ent bon et les maitres d hotel tres attentionnes. Tous sont des Palestiniens et s etonnent que je m qdesse a eux en arabe. Ils savent un peu de francais de cuisine et sont charmants. Ils sont chez eux icim parfaitement integres.

    Ce ne fut helas pas l i;pression que j avais eu la veille en quittant le Mur et en faisant un crochet par les boutiques de la vieille ville. Deux mondes qui se croisent, s ignorentm sont transparents l un vis a vis de l autre. Quelle tristesse et quel dommage.

    Cet apres midi en filant vers le sud, une rerreur cproductive nous conduit a Sderot que nous visitons en une demi heure. Mais j y reviendrai car mon temos dusage est epuise. Je reviens plus tard.