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Vu de la place Victor-Hugo - Page 1374

  • la Suisse et la Libye

    Il faut esperer que la Suisse ne connaitra pas les afres au'ont connu d'autres gouvernements dont les ressortissants sont devenus de veritables otages dans un pays qui a encore de grands progr6s a faire sur la voie de la democratie. On sait alors compte que la pla planete n'a pas encore le degre que le philosophe Kant nommait, dans son indicicble candeur le pacte de paixm la paix eternelle;

    Cette idee de paix avait connu une notori2t2 mondiale sous sa forme religieusem le messianisme. Nous en sommes restes assez loinm depuis le VIIIe si7cle avant Jesusm date a laquelle un grand prophete hebraiaue du nom d4Isaie promettait a l'humanite un avenir meilleur. Nous l'attendons encore, Maia, patiencem les hommes finiront par comprednre que c' est a eux de l'instaurer en eux memes.

    Un beau matin, ils se reveilleront en decouvrant qu'ils ont gange, que la justice l'emporte sur l'iniquite. Un reve, quoi.

  • CHAHINE

    De Gstaad ou je savoure auelaues jours de repos bien meritem je pense  ayoussef chahine qui fut un grang humaniste dans un univers cruel et injuste, son oeuvre lui vivra

  • DANIEL BARENBOIM, LE MUSICIEN DE LA PAIX…

    DANIEL BARENBOIM, LE MUSICIEN DE LA PAIX…
        La vie et l’engagement de Daniel Barenboim, éminent chef d’orchestre mondialement connu, ont déjà retenu l’attention, mais le journal Le Monde a eu la bonne idée de reprendre dans ses éditions du 25 juillet toute une page de ses écrits.
        Il y parle de sa vie, de ses origines et de sa vocation musicale. Ses grands parents étaient des juifs russes qui émigrèrent vers le début du XXe siècle vers l’Argentine, qui était jadis la troisième communauté juive du monde, après les USA et l’URSS. Ses grands parents maternels, sionistes dans l’âme, avaient déjà fait une apparition en Palestine pour voir s’il y avait une perspective de s’y installer. Alors que pour eux, la notion de Terre sainte était fondamentale, les grands parents paternels étaient, eux, largement assimilés, de l’aveu même du musicien. Né en Argentine en 1942, le petit Barenboim suit ses parents en israël alors qu’il n’a que dix ans… C’était, disait-il, l’époque où l’on ne parlait que de faire refleurir le désert, où tout semblait sensible tant les pionniers étaient ivres d’espoir et d’envie de reconstruire. Le jeune enfant dut apprendre l’hébreu, lui qui ne parlait qu’espagnol à la maison.
        Lorsque ses talents musicaux sont reconnus et qu’il voyage à l’étranger, Daniel B. rencontre à Londres celle qui va devenir son épouse. Il affirme lui-même que sans qu’il l’ait exigé, son épouse choisit de rejoindre la communauté juive afin que ses enfants n’aient aucune difficulté à s’intégrer dans la société juive en Israël.
        Daniel B. adresse quelques critiques à l’Etat d’Israël mais souligne son appartenance et sa solidarité avec le combat du peuple juif pour sa survie et sa sécurité. Il n’est pas d’accord avec la thèse qui consiste à dire que les victoires militaires sont un gage indispensable d’avenir… Il va même jusqu’à écrire que cette terre était habitée avant l’arrivée du mouvement sioniste. On connaît l’engagement de Barenboim aux côtés de l’universitaire américano-palestinien Edward Saïd en faveur de la paix. Et la musique est le medium choisi par les deux hommes pour faire de la paix un processus irréversible.
        Ce combat est digne d’éloges. Il faut prendre et laisser un peu de ce que dit Daniel B. : au fond, c’est  un musicien. Et comme disait le grand idéaliste Arthur Schpenhauer, le monde a besoin de la musique mais la musique, elle, n’a pas besoin du monde.