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Vu de la place Victor-Hugo - Page 1378

  • LA FIN DES TRENTE-CINQ HEURES

    La fin des trente cinq heures

        Patiemment mais avec constance, le gouvernement français s'attache à détricoter les trente cinq heures qui, de l'avis quasi unanime, ont ralenti l'expansion de l'économie française et soumis le pays à une sorte de paralysie. Désormais; il faudra compter avec un nouvel esprit, celui de travailler plus pour gagner plus. Nous savons que cela ne plaît pas à tout le monde, mais existe-t-il une autre solution?

        Désormais, au lieu de 218 jours on pourra en travailler 235, c'est-à-dire 17 journées de plus et gagner plus. Par ailleurs, la durée légale du temps de travail demeure  35 heures mais les entreprises auront toute latitude pour négocuer sur ce point.

        Cette mesure est censée libérer les forces de l'innovation et de l'expansion en France: pouvait-on continuer sur la lancée de Madame Aubry? Ce n'est pas sûr!

        Certes, les Français, habitués à cinq semaines de congés payés n'en auront plus que quatre, mais tout de même à cela s'ajoutent les jours fériés normaux, les viaducs et les ponts. Et le mois de mai presque à moitié chômé dans ce pays,  toutes ces possibilités sont là pour rassurer les mécontents.

        La seule réserve que nous aurions touche aux jeunes mamans qui risquent peut-être d'avoir quelques difficultés pour bien s'occuper de leurs enfants. Or, la France a besoin de renouveler et d'augmenter sa population. Il faudra donc veiller scrupuleusement à ce que ce point humain ne soit pas négligé. Il y va de la réussite de la réforme et de son acceptation définitive par les Français. 

  • VERS UNE DÉCOMPOSITION DU SYSTÈME POLITIQUE ISRAÉLIEN ?

    VERS UNE DÉCOMPOSITION DU SYSTÈME POLITIQUE ISRAÉLIEN ?
        Depuis la disparition brutale de Monsieur Ariel SHARON du système politique israélien suite à un accident cérébro-vasculaire grave, on observe un étrange phénomène qui serait passé inaperçu s’il ne risquait d’entraîner des conséquences encore plus graves que celles auxquelles nous assistons.
        Il s’agit évidemment de cette série de scandales qui jalonnent ces derniers 24 mois la vie politique israélienne. C’est comme si des forces obscures cherchaient à déstabiliser le pouvoir en place en mettant au jour, sur la place publique, des scandales plus ou moins graves qui ont le don de paralyser l’exécutif ou de le discréditer gravement aux yeux de l’opinion nationale et internationale.
        Premier exemple : Ariel Sharon lui-même a eu cette première crise lorsque les juges et la police se sont mis à le questionner et à prendre dans leurs filets ses propres fils… Malade mais rétabli, il s’est trop vite remis aux commandes de l’Etat, ce que ses adversaires ne souhaitaient visiblement pas. Ils redoublèrent d’efforts pour le discréditer et ce fut la crise fatale…
        Second exemple, l’ancien président Moshé KATSAV qui fut accusé de viols et de harcèlement sexuel à l’encontre de ses secrétaires et collaboratrices. Les poursuites ne se sont arrêtées que lorsque le président a accepté de démissionner. Notez que j’ignore s’il y eut ou non commission d’actes que la morale réprouve et que la loi condamne ; je relève simplement que le procédé est étrange.
        Troisième exemple : l’actuel Premier Ministre qui est, semble-t-il, poursuivi pour six dossiers dans lesquels il se serait (soulignons le conditionnel !) rendu coupable de malversations… Ceux qui alimentaient la chronique judiciaire n’ont cessé de le faire, même lorsque le Premier Minsitre se trouvait face à Bachar el-Assad, trop heureux de voir un ennemi affaibli par ses propres juges… Il est vrai que dans ce domaine le syrien ne court pas le risque de se trouver confronté un jour  aux juges… de son propre pays.
        Doit-on y voir la main de forces obscures qui complotent car la politique actuelle du premier Ministre ne leur plaît pas ? Je ne sais. Mais d’aucuns le pensent et soulignent que certains milieux du renseignement et de l’appareil sécuritaire voient d’un très mauvais œil l’éventuelle restitution du plateau du Golan à la Syrie… Soit, mais dans les exemples précédents ? On ne sait que penser ni à quel saint se vouer…
        Les Israéliens ont tout intérêt à serrer les rangs et à cesser ce jeu de massacre au moment où des terroristes commettent ces attentats à la pellteuse en pleine ville de Jérusalem, leur capitale. Qu’attendent-ils pour le faire ? Ou bien les jeux politiciens sont-ils plus importants que la sécurité du pays d’Israël ?

  • ’OUBLI D’ENFANTS EN BAS AGE DANS LES VOITURES

    L’OUBLI D’ENFANTS EN BAS AGE DANS LES VOITURES
        Nous sommes absolument abasourdis d’entendre qu’un deuxième cas d’oubli d’enfants dans une voiture surchauffée s’est produit en France… Comment est-ce possible ? Dans les deux cas, la moralité du père frappé d’amnésie n’est pas en cause. L’autopsie l’a montré, dans les deux cas l’enfant est mort de déshydratation.  Et dans les deux cas, il s’agissait d’enfants n’ayant pas encore atteint l’âge de quatre ans.
        La douleur des parents est immense et nous n’aimerions pas être à leur place. Ils ont droit à notre compréhension, même si cette négligence ou ce coupable oubli peut s’expliquer, mais pas se justifier ni se faire pardonner.
        Non, je pense aux enfants morts sous l’œil, peut-être, de passants indifférents mais non attentifs. Comment s’imaginer de tels drames. Que ses enfants, désormais devenus des nages, nous pardonnent à nous adultes qui les oublions alors qu’ils dépendent de nous et de nous euls. Que le Seigneur nous pardonne et qu’il accueille leur âme dans sa miséricorde.