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  • Le statut de la fonction publique en France

     

      Cette fois-ci, c'est bien parti: le nouveau gouvernement s'attelle à la réforme en profondeur de la fonction publique. Ce sera une révolution culturelle car les cinqu ou six millions de fonctionnaires de l'Hexagone occupent une place non négligeable dans le budget de ce pays, budget qu'il faut absolument assainir, sans que le public (notamment l'éducation, la santé, la justice et les personnes âgées) n'aient à en souffrir.

      Un gref rappel historique: en 1946, une France exsangue manque de tout , a besoin de tout. Elle recrute à tour de bras, confie à un député communiste Maurice Thores le soin de jeter les bases de  nouveaux corps de l'Etat. La fonction publique à la française est née. ON ne reviendra pas sur les mérites et les inconvénients de cette démarche. Mais 61 ans après, un réexamen s'impose. Il faut de l'efficacité, de la productivité et de meilleurs salaires. Moins de fonctionnaires qui travaillent plus et qui seront mieux payés.

      Il faut agir vite et conduire les réformes, sinon elle s'imposeront d'elles-mêmes et de manière implacable.
     

  • Le dialogue des deux Corées

     

        La zone démilitarisée entre les deux Corées compte, dans ses parages, la plus forte concentration d'hommes en armes, depuis l'arrêt des hostilités entre les deux frères ennemis. C'est dire l'impoortance que revêt la démarche des deux chefs d'Etat ennemis et la portée symbolique de leur geste.

      Ce conflit n'est pas uniquement la dernière séquelle de la geurre froide, c'est aussi un facteur d'instabilité régionale et mondiale: d'abord sur le continent lui-même puisque tant le Japon que la Corée du sud se sont sentis menacés par le tir de missiles balistiques. Enfin, au plan mondial puisque la Corée du nord a aidé le Pakistan à acquérir la bomble mais aussi, semble-t-il, la Syrie. Ce qui a, récemment, provoqué une double frappe israélienne sur le terriroire de cette dernière.

      Une pacification de la Corée du nord ou, à tout le moins, sa réinsertion dans le concert des nations contribuerait donc à éteindre des foyer de tension de par le monde. Ce serait aussi un tarissement de la prlifération des armes nucléaires ou de destruction massive.
     

  • Al-Qaida et le Maghreb

     

      Que se passe-t-il actuellement en Algérie, voire même au Maroc? La récurrence des attenttats suicides portent indubitablement la marque d'al-Quaida qui,  d'ailleurs, ne se gêne pas de les revendiquer. On a déjà eu l'occasion d'évoquer ici même l'attenttat contre le convoi du président algérien A. Bouteflika.

      Un nouveau pas semble avoir été franchi dans la revendication, un pas que nos pays européens, surtout ceux qui sont riverains de la Méditerranée, ne devraient pas sous estimer: c'est l'appel à reconquérir et à islamiser l'Andalousie. Al-Andalous pour les Arabes, un territoire dont sait qu'il resta longtemps sous la domination mahométane.

      Ce type de revendication aurait fait sourire en d'autres temps. Aujourd'hui, la nébuleuse terroriste ne manquera pas de «ben-ladensier» les esprits. Il faut y prendre garde.