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  • La fondation CHIRAC

      C'est bien la première fois, semble-t-il, que l'ancien Président français signe une tribune dans  unjournal de son titre Président de la Fondation Chirac. C'est bien. Il a décidé de consacrer la plus grande vigilance à la famine dans certaines parties du monde, notamment en Afrique. Les Africains ont droit à toute notre sollicitude. Au nom de la solidarité humaine et de la partie commune de nos histoires, nous devons nous porter à leur secours.

        Mais est-ce suffisant?  Quand nous étions enfants, on nous enseignait à l'école primaire la fameuse fable qui se terminait par  aide-toi, le Ciel t'aidera

        Ce n'est pas faire injure aux peuples africains que de leur rappeler cet adage en espérant qu'il le médietront avec fruit. Car certains pays d'Afrique sont riches de matières premières, de métaux précieux et de ressources dont le mon de entier a besoin… Et pourtant leurs populations est dans la misère…

        Deux causes à cela: soit la corruption de régimes autoritaires, soit tout bonnement la malgouvernance. Faut-il s'en prendre aux Occidentaux pour cela? Je ne le crois pas. Je pense que nous devons faire aussi un effort, non seulement pour nourrir ces êtres humains comme nous, mais aussi pour leur formation politique et leur enseignement démocratique… 

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  • La situation en France…

     

      La situation en France…

        On commence par quoi ? Les lycéens qui nous annoncent des grèves à venir ? Le déremboursement de certains frais médicaux ? La restructuration des allocations familiales ? Le regroupement des établissements hospitaliers ? La grève au journal Le Monde ? La réforme des OGM ?
    Heureusement que nous avons les ch’tis ! Bravo au clin d’œil de la Tribune de Genève qui a traduit son édition du net en cette langue amusante… Toutes nos télévisions en parlent ce matin. En prenant mon café devant I-télé, je n’en croyais ni mes yeux ni mes oreilles. Quand le rappel des titres de 8 :30 m’a convaincu que je n’était pas obsédé par mon blog sur la Tribune…
    Le général de Gaulle n’avait pas tort quand il portait sur les habitants de ce pays des jugements un peu tranchants.

     

  • La situation au journal Le mond

      

    La situation au journal Le monde…

    Cela ne va pas du tout. Le grand quotidien national français, paie encore et toujours les lourdes erreurs du passé. Mais il faut absolument le sauver, au besoin en oubliant ce qu’il fut pour rebâtir un nouveau quotidien, désengagé de l’idéologie et des défauts du précédent.
    Un second jour de grève, c’est du jamais vu et tout cela pour la suppression de 130 emplois ! Même les administrateurs du journal reconnaissent publiquement que durant l’ère précédente, l’ancienne direction n’a pas lésiné sur les embauches, chargeant dangereusement la barque et n’en faisant qu’à sa tête.
    Ce qu’il faut bien dire, c’est que nul, sous le soleil, ne peut se soustraire à des règles d’orthodoxie comptable ni multiplier à l’infini adversaires et ennemis. Le Monde que nous lisons depuis des décennies et auquel nous sommes toujours attachés a changé ; il a commis trop d’erreurs, s’arrogeant une sorte de saisine universelle, voire un véritable droit de censure, nationale et internationale… Je reprendrai la critique la plus séminale, la plus ramassée et la plus frappante, jamais formulée à son endroit : de contre pouvoir, Le Monde est devenu pouvoir !
    Là est l’erreur fatale. Nous avons déjà, je crois, relaté une anecdote absolument véridique : un soir, à l’Opéra de Paris, lors de l’entre acte, un important ministre du gouvernement français était assis non loin du directeur du Monde… Eh bien ! au box office des salutations, le journaliste dépassait de dix coudées son voisin, pourtant détenteur du pouvoir politique… Un fait à méditer.
    Le Monde devrait repartir du bon pied, rénover l’ensemble de ses organigrammes, sans reculer devant rien… Faire comme Nicolas Sarkozy qui réforme sans cesse. Et du coup, on se souvient du mot de Victor Hugo à l’égard de Sainte-Beuve.

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