L’Europe et l’immigration
Parfois, l’histoire donne l’impression de se répéter. On pense à l’empire romain détruit par les grandes invasions et au limes construit par ces mêmes Romaines pour stopper, ou simplement endiguer ces afflux de populations démunies et fuyant leurs pays respectifs pour commencer une nouvelle vie.
Au fond, toutes les familles humaines e valent, mais elles ne sont pas logées à la même enseigne. Ce n’est pas une question de race mais bien de culture. Prenons un exemple= au lendemain de la seconde guerre mondiale, de puissants mouvements de populations firent leur apparition, il y eut des problèmes graves : des gens furent expulsés, déracinés de leur lieu de naissance, d’autres perdirent leur liberté, d’autres enfin perdirent même la vie, hélas. Mais au bout de quelques décennies, tout ou presque était rentré dans l’ordre. Pourquoi et comment ? Parce que ces populations européennes avaient la même culture et le même enracinement religieux ou spirituel, le judéo-christianisme. C’est un ciment d’unité absolument essentiel. Enfin, tout était à reconstruire ; des millions d’hommes étaient morts à la guerre, il fallait beaucoup de main-d’œuvre
Aujourd’hui, les choses ont changé, l’Europe n’est plus un eldorado. Des pats comme l’Allemagne, la Grande Bretagne et la France, sans même nommer l’Espagne et l’Italie, n’en peuvent plus et reviennent sur presque toutes les libéralités accordées jadis aux immigrants ; certains hommes politique n’ont pas honte de dire publiquement qu’il faut secourir les migrants, les requinquer et les renvoyer aussitôt chez eux ; les gens qui hélas meurent sur des embarcations de fortune viennent d’Afrique noire ou d’Afrique du nord, ils ne parlent pas les langues européenne.
Des pays européens majeurs se sont insurgés contre la politique des quotas prônés par le président de la Commission Européenne. On les comprend. Mais il faut aussi ranimer les valeurs d’entraide et de solidarité humaines. Faute de quoi nos sociétés trahiraient leur socle éthique. Toutefois, on l voit aussi, même cela butte contre des limites têtues : exemple la France qui décide de resserrer l’aide médicale à tous, sans distinction d’origine. Le déficit de l’assurance maladie a fait un bond inimaginable.
Il faut aider les gens à rester chez eux, à avoir un minimum de vie convenable. Malheureusement, nous n’avons aucun grand homme d’Etat capable d’insuffler à cette nouvelle politique un élan nouveau et puissant.