Les Grecs devraient suivre l’exemple de Varoufakis : démissionner de l’Europe une fois pour toutes !
En fait, nous avons affaire à des personnages bien plus retors qu’on ne pensait : Tsipras qui s’entend comme larrons en foire avec son désormais ex ministre des finances, lui demande de faire semblant de partir pour jeter un os aux Occidentaux qui pourront ainsi laver l’affront de ce référendum qui consacre l’emprise de Syrysa.
L’Europe a échoué, elle a échoué face à une bande de contrebandiers qui l’ont ridiculisée à la face du monde entier. Certes, Tsipras va jurer ses grands dieux qu’il veut l’Europe, qu’il veut l’Euro mais dès que les négociations reprendront, il fera mine d’être d’accord et une fois de retour à Athènes il ressortira l’arme à plusieurs coups du référendum !
Que les bons Européens prennent garde, un référendum peut en cacher un autre. Les Européens ne devraient plus négocier. Ils devraient suspendre toute aide à ce pays qui a osé donné 60% de ses suffrages à des aventuriers. Si l’on n’y prend pas garde, l’Europe risque d’éclater à cause des Grecs qui ne veulent ni rembourser leurs dettes ni réformer un état qui n’en est pas un depuis plus de quarante ans.
En fait, il faut d’abord les exclure de la zone Euro et ensuite de l’Europe proprement dite. Celui avait parlé de ne pas fermer la porte à Platon est aussi celui qui l’avait ouverte au regroupement familial, créant l’insoluble problème de l’immigration auquel nous faisons face aujourd’hui.
Comment a t on pu jadis admettre la Grèce au sein de la zone Euro ? Comment a t on fermé les yeux sur toutes les malversations et les tromperies d’Etat coordonnées par tous les gouvernements grecs successifs ? Au point de confier l’avenir de tout un pays à une bande d’aventuriers qui en compromis pour longtemps le renom et la réputation.
Il eût fallu éloigner ce cancer depuis longtemps. Il risque de s’étendre à d’autres. Tsipras et ses acolytes sont vraiment diaboliques. Je comprends les Européens mais je ne comprends pas leur attentisme : il faut faire sortir la Grèce de Tsipras de l’Euro et de l’Europe.