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  • La Grèce: le choix entre Tsipras et l'Europe

    La Grèce : c’est ou l’Europe ou Tsipras !

    L’aventurier politique d’Athènes se rend enfin compte de sa bévue. Il a compris que les Européens avaient vu juste dans son jeu. Ils peuvent retourner son arme contre lui. En disant aux Grecs que s’ils donnent la majorité au non, ils en subiront les conséquences, toutes les conséquences. D’ailleurs, les soutiens au non s’érodent et il est fort possible qu’il l’emporte. Mais n’anticipons pas.

    Le vent du boulet a dû être très frappant puisque l’actuel ministre des finances grec a dit qu’il ne serait plus lundi à son poste si le oui l’emportait. Mais c’est une évidence, car comment pourrait il admettre ce qu’il s’entêterait à refuser depuis des mois.

    Mais même si le oui devait l’emporter, cela ne signifierait pas la solution de la crise grecque et surtout de la dette de ce pays. On ne doit plus faire référence à l’antiquité grecque pour attirer de la mansuétude : les Grecs d’aujourd’hui n’ont plus rien à voir avec l’ancien patrie de Socrate, de Platon ou d’Aristote. Regardez les actuels dirigeants, Tsipras et Varoufakis , rien dans leur comportement ou leur attitude  n’évoque les dignes maîtres de la pensée grecque.

    Un détail : je ne comprends pas que certains dirigeants européens continuent de se raccrocher à des négociations avec des gens de peu de foi. Je ne le comprends vraiment pas. Surtout quand ces mêmes dirigeants n’ont pas les moyens d’assumer leur politique.

  • DSK, le retour?

    DSK, le retour ?

    On le bien : en politique, on n’est jamais mort, sauf après une vraie mort clinique. Cet adage est en train de se vérifier avec DSK qui s’est enfin mêlé de la crise grecque et qui a livré sa solution personnelle dans twitter. Sa note a été visitée par plus de trois millions de personnes. Du jamais vu, comparable seulement avec les plus grands de ce monde. Style Barack Obama ou autres.

    Il n’en fallait pas plus pour que les journaux s’affolent. Il faut dire qu’ils cherchaient une mine à exploiter pour l’été. Cependant, nos étés ne ressemblent plus aux anciens du temps jadis. Aujourd’hui, il y a tant d’événements tristes et malheureux que toutes les plumes journalistiques aux démangeaisons bien connues trouvent à s’employer sans grande difficulté.

    DSK a t il intérêt à se replonger dans la politique ? Après tout ce qu’il a vécu, ce serait une éclatante revanche, notamment sur ceux qui l’ont moqué, trahi et abandonné. Il a eu des moments très difficiles, surtout le dernier en date concernant le procès du Carlton à Lille.

    Mais il faut bien reconnaître que ce génie, ce Mozart de la finance, s’est mal conduit : qu’on me pardonne cette légère ingérence dans sa vie privée. Au fond, on ne doit pas s’occuper de la vie privée, mais quand on est un personnage public, la vie privée ne l’est plus vraiment.

    Finissons par l’émission d’un vœu : que DSK fasse ce qui lui plaira, mais que désormais il adopte un mode de vie plus rangée, plus tranquille. S’il le souhaite, il peut mettre ses compétences au service de son pays. Il y a de fortes chances pour qu’en 2017 il soit, comme on dit, en situation. Nul ne peut jouer aux pythonisses comme la Pitie de Delphes.

    Attendons et voyons.

     

  • Tsupras a projeté son pays la Grèce dans un ravin sans fond

    Alexis Tsipras a envoyé son pays la Grèce dans un ravin

    Dans toute cette affaire de poker menteur, la presse n’a pas joué un bon rôle, elle a fait croire que la terre allait cesser de tourner ce matin si ce pays gouverné par des fous, la Grèce, était en cessation de paiement. Le monde entier savait que ce serait le cas et faute d’un coup de baguette magique, le gouvernement actuel ne pourrait pas honorer sa dette, ni celle d’aujourd’hui celle de la BCI dans deux semaines.

    Je note aussi que de tous les gouvernants européens, seules deux dames se sont comportées de manière mâle et virile : Madame Lagarde et Madame  Merkel. Cela ne m’étonne pas, comparées à ces Messieurs fatigués et vieillissants, qui n’ont pas pris ou tardivement la mesure de filouterie de leurs  homologues grecs.

    François Barouin a appelé ce matin au départ de Tsipras, il avait été précédé par un député grec de droite qui exige de nouvelles élections. Ce devrait être la solution.

    Comment oser négocier des semaines durant pour ensuite faire volte face et dire qu’on s’en remet au jugement du peuple auquel on recommande bruyamment de répondre non ?

    Le vieux Monsieur Juncker s’est dit trahi par Tsipras. Incroyable !  Comment un politicien blanchi sous le harnais a t il pu se faire avoir de la sorte ?

    Il faut laisser ce gouvernement de flibustiers conduire son pays dans l’abîme et dans la ruine.

    Pas de place en Europe pour la Grèce de Tsupras et de Voroufakis.