L’attentat terroriste sur le sol US/ Barack Obama est il l’homme de la situation ?
Tous ceux qui suivent ce blog savent quelle est ma réponse à la question : l’actuel occupant de la Maison Blanche qui ne part hélas que dans onze mois, n’est pas à la hauteur de la situation. IL tergiverse sans cesse et se confine constamment dans des postures idéologiques. Comme il n’a été élu que grâce à la défiance témoignée à son prédécesseur et comme il n’a été élu, aussi, qu’en promettant de sortir son pays des bourbiers d’Irak et d’Afghanistan, il se refuse absolument à se déjuger et à envoyer des troupes au sol. En restant fidèle à ses inconséquences il ne protège plus vraiment le peuple US alors que c’est sa mission première.
Quand il ne sera plus là et que les historiens analyseront qu’il a instillé des troupes sur place à des doses homéopathiques, au lieu de frapper un grand coup, l’histoire portera sur ce président le jugement qu’il aura mérité.
Si l’on avait eu un républicain dans le bureau ovale, cela fait longtemps qu’il aurait envoyé sur place une division aéroportée qui aurait tout nettoyé. Or, ce que nous vivons est très inquiétant : le monde libre a un leader, les USA et ces derniers sont menés par un homme qui hésite et tergiverse. Ce qui devait arriver est arrivé : Daesh contamine désormais des gens en Amérique même : quatorze morts et des dizaines de blessés sont à déplorer. Obama aura beau tenté de minimiser ce grave incident, rien ne se serait produit s’il avait agi en Syrie plus vite et plus fort.
On a eu en France le même problème, l’actuel ministre des affaires étrangères se tuant à répéter que Bachar doit partir avant toutes choses. Eh bien, il n’est pas parti et en prime, nous devons l’aider, pour le faire partir plus tard. Nouvel exemple de posture idéologique avant une analyse saine et objective des réalités sur le terrain.
On a encore perdu deux ans et qui sait, peut-être aurions nous pu éviter tous ces morts.
La politique, ce n’est pas la loi et les prophètes. Cela évolue, cela bouge. Et pas toujours dans le sens qu’on veut ou espère.