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Vu de la place Victor-Hugo - Page 1124

  • LEBANON

    LEBANON

    Ce terme signifie Liban en hébreu et est le titre d’un film proposé par un réalisateur israélien qui avait pris part à la guerre du Liban en 1982. J’ai vu ce film hier soir dans une salle comble des Champs Elysées. On sait que depuis quelques années, le cinéma israélien connaît un essor considérable et l’expérience de la guerre qui a touché toutes les générations de ce pays constitue l’un de ses thèmes favoris. Lebanon ne fait pas exception à cette règle.

    De quoi s’agit-il ? D’un équipage de char qui se trouve en mission dans une zone habitée et qui doit soutenir les commando opérant à pied contre des terroristes qui n’hésitent pas à prendre les civils en otage afin de s’en prendre impunément aux soldats. Les trois tankistes vivent dans l’espace confiné de leur véhicule blindé. Ils sont jeunes et sont commandés par un officier presque aussi jeune qu’eux. Lorsqu’il s’agit de tirer un obus de char contre un repaire de francs-tireurs, les servants hésitent, mettant un instant en péril la vie de leurs camarades.

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  • Le foot ball et la violence

    Le foot ball et la violence

    Ce matin, au lever, je suis abasourdi, stupéfait, en écoutant les nouvelles à la télévision : à moins de trois kilomètres, porte de Saint Cloud, un lieu que je connais très bien pour avoir fait mes études secondaires dans un pensionat du coin, un jeune homme a été poignardé et , quelques minutes plus tard, a succombé à ses blessures… Une rixe a éclaté, semble-t-il, entre quelques personnes et le drame s’est produit, on ne sait comment.

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  • INSÉCURITÉ DANS LES ÉTABLISSEMENTS SCOLAIRES

    L’INSÉCURITÉ DANS LES ÉTABLISSEMENTS SCOLAIRES

    C’est devenu intenable, l’insécurité dans les établissements rend la vie du personnel et des lycéens insupportable. Il n’est plus un mois ni une semaine au cours desquels on n’ait à déplorer des agressions plus ou moins graves contre des professeurs ou des enfants. Et ce qui frappe le plus dans ces affaires, c’est l’extrême jeunesse des agresseurs, à partir de 11 ans ! Ce qui est inouï, c’est que des enfants se trouvent en possession d’armes blanches et n’hésitent plus à s’en servir pour régler des problèmes ou vider une querelle les opposant soit au professeur soit à d’autres camarades.

    On dit que la France a changé, que sa composition sociologique, voire ethnique, n’est plus la même. C’est fort possible et lorsque la télévision fait des reportages dans ces mêmes établissements de banlieue, on voit effectivement des enfants qui s’expriment dans une langue française hésitante ou franchement incorrecte.

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