L’Iran et l’énergie nulcéaire
Il semble que M. Obama ait enfin compris qu’il avait prêché dans le désert et que la main tendue à l’Iran a permis à l’aide dure du régime de gagner du temps, de pousser les feux vers un nucléaire non contrôlé et de mieux menacer ses paisibles voisins. C’est la leçon que l’on peut tirer de la tournée de Madame Clinton dans la région du golfe persique.
M. Obama a fait perdre à la communauté internationale un temps précieux car aujourd’hui une action aurait été entreprise contre le pays des Mollahs et aurait placé les forces occidentales dans une bien meilleure posture. Cette politique étrangère américaine est en train d’être revue de fond en comble. Quand on est une grande puissance, on doit savoir combattre les Etats qui ne respectent pas les règles. Au fond, Georges Walker Bush n’était pas si mal : lui au moins avait pris la mesure des ennemis de la liberté et de la démocratie.