Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Vu de la place Victor-Hugo - Page 903

  • Avignon

    Avignon, pendant le festival

    Difficile de trouver un taxi dans cette bonne ville d'Avignon où abondent les pectacles en tous genres. C'est un peu comme la langue d'Esope, la meilleure et la pire des choses. Mais l'atmosphère est bon enfant. Hier nous avons subi un orage incroyable, mais vers la fin de la journée, le soleil est revenu. Ce palais des papes est merveilleux: je considère cette captivité d'Avignon comme l'un des meilleurs bienfaits du christianisme à cette ville.

    Nous avons vu une répétition de la fameuse répétition de Mac Beth avec cet acteur tout nu, chantant dans la cour d'honneur et des dizaines de femmes russes se bousculant pour le prendre en photo et garder ce costume en souvenir.

    Il est impossible de faire honneur à tout ce qui se donne ici, mais tout de même. Ma seule critique, c'est l'absence scandaleuse de taxis et d'autobus. Lais que faire?

    Le colloque d'Althaïre auquel j'ai participé, s'est bien passé. Nous avions pas mal d'auditeurs et la convivialité était au rendez vous. Quand je rentreai, je referai le blog sur le resurant La Mirante qui le mérite vraiment.

  • uN BON REPAS A LA MIRANDE 0 aVIGNON

    uN BON REPAS VAUTAUTANT QU4UN BEAU SPECTACLE 0 aVIGNON

    aLLEZ DONC AU RESTAURANT lE mIRANDE O% VOUS SEREZ TR7S BIEN RE9U; rEMI? LE JEUNE 2L7VE SOMMELIER VOUS RECOMMANDERA UN EXCELLENT VIN ET VOUS FERA VISITER LES DEUX CAVES COMPTANT 2000 BOUTEILLES ET 460 R2F2RENCES;

    EN BAS LA TABLE D4HÖTES EST MAGNIFIQUE ET L4ATMOSPH7RE DES PLUS CONVIVIALES;  aU FOND? UN BON RESTAURANT APR7S UNE VISITE D2TAILL2E DU PALAIS DES PAPES? C4EST TR7S BIEN;

  • Aujourd’hui, soixante-neuvième anniversaire de la rafle du Vel d’Hiv…

    Aujourd’hui, soixante-neuvième anniversaire de la rafle du Vel d’Hiv…

     

    Presque une vie d’homme ! Tant de décennies sont passées et la blessure commence tout juste à se cicatriser. Il y eut le très beau discours de Jacques Chirac, écrit par Christine Albanel. Un discours qui disait les choses sans circonvolution : oui, la France avait, ce jour là, commis l’irréparable. On peut dire que depuis ce discours, une tache, que l’on croyait indélébile, avait été effacée de l’étendard de la France républicaine. L’honneur du pays était rétabli.

    Il y eut un beau film mais dont la distribution des rôles fut plus que discutable puisque le metteur en scène a confié le rôle principal à un artiste de variétés, certes doué pour son genre, mais guère à sa place dans ce contexte précis…

    Je le répète encore une fois ; il ne faut pas que ces souffrances inouïes sombrent dans l’oubli, mais il faut trouver de nouvelles façon de commémorer de tels événements inoubliables.

    Je me souviendrai toujours de la phrase de mon vieil ami Willy Rickner, natif de Varsovie et qui vivait alors en France depuis de nombreuses années. Il me disait ceci : je prie D- pour que tu n’iaes jamais à connaître cela. Quoi donc, répondis-je ? Des gendarmes portant l’uniforme français venant rafler d’autres Français, au seul motif qu’ils étaient juifs…