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  • Le rapport de la commission d'enquête sur la guerre du Liban

     

        Peut-on dire, sans choquer, que le rapport du magistrat Eliyahou Vinogradov a accouché d'une souris? Les commissions d'enquête en Israël sont généralement plus sévères. On se souvient du rapport de la commission Agranat, établi lui aussi après la gurere de 1973 et qui avait mutadis mutandis, coûté son poste de Premier Ministre à Golda Méir .

        Il semble que différentes considérations, de nature plutôt contrdictoire, ont joué un rôle. D'abord, l'opinion arabe du Proche Orient, et par delà, l'opinion publique internationale qui auraient respectivement jubilé ou simplement marqué des inquiétudes.

        Jamais guerre isréalienne ne fut pplus médiocrement menée… Que l'on me comprenne bien, je ne suis pas pour la guerre, mais fondamentalement pour la paix, le développement et l'iamitié entre les peuples. Mais dans ce cas précis, Israël fut traitreusement attaqué, ses soldtas tués et , pour partie, retenus en otages, comment ne pas réagir?

       Même les stratèges militaires n'ont pas compris ces frappes aériennes absolues contre lesquelles le Hezbollah s'était prémuni par avance; et surtout, cette étrange décision de déclencher une offensive terrestre deux jours avant le cessez le feu imposé par l'ONU… Offensive qui fut sanglante pour Tsahal.

         La leçon à tirer est qu'il faut toujours des organismes judiciaures absolument indépendants et fiables, n'obéissant nullement à une institution politique quelle qu'elle soit…
     

  • Que s'est-il vraiment passé à la Société Générale?

     

        Oui, que s'est-il vraiment passé à la Société Générale, cette banque qui s'est offert le luxe (si je puis dire) de perdre l'équivalent de 5 millards d'Euros en quelques jours. On s'étonnerait de lire sous la plume d'un simple philosophe des dissertations savantes que seuls les économistes ou les financiers chevronnés pourraient se permettre d'écrire.  

        Mais tout de même! Ayant, comme tout un chacun, un compte bancaire, une carte de crédit et des prêts à rembourser, je ne puis m'empêcher de me poser des questions. Ce qui me frappe, c'est la zone d'ombre des activités bancaires, je veux dire le volet spéculatif. Car, au fond, si le trader téméraire avait réussi son coup, il aurait eu une gratification, suivie d'une promotion. Mais comme les dieux de la finance n'étaient pas avec lui ces semaines là, cela n'a pas marché, la côtation en a été bouleversée et la banque éclaboussée.

        Quand je pense aux innombrables frais bancaires que les banques nous imposent pour si peu de choses, elles qui ne passent sur rien, vous scrutent à la loupe quand vous demandez des prêts etc…, n'hésitent pas à exiger des hypothèques de premier rang…

        Je ne me réjouis guère de ce qui arrive au secteur bancaire (européen, américain ou autre), je prie simplement pour que les mœurs changent et que de telles discrépances n'existent plus: un trou catastrophique qui sera de toutes manières comblé, d'un part, et des frais bancaires toujours payés rubis sur l'ongle, d'autre part…