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Vu de la place Victor-Hugo - Page 1047

  • Le président Obama et Israël

    Le président Obama et Israël

    Le temps a fait son œuvre. Encore un tout petit peu de temps et l'on ne se souviendra même plus des réticences d'Obama à l'égard d'Israël. Pratiquement tout est rentré dans l'ordre. Plusieurs explications se présentent à l'esprit pour expliquer cette mutation qui, certes, prend son temps, mais est déjà nettement perceptible.

    La première explication est que les caciques du parti démocrate où les amis d'Israël sont très influents ont fait une sérieuse explication de texte au président actuel lui expliquant que s'il ne voulait être en voie de cartérisation accélérée, il lui fallait changer de cours politique au Proche Orient. Ils lui ont aussi expliqué qu'ils risquaient tout bonnement d'aller dans le mur lors des élections de mi mndat à cause de sa bourde monumentale concernant le lieu de culte musulman près de Ground zero. Personnellement je trouve qu'on a eu tort de confondre une religion, comme toutes les autres, avec un fanatisme et un terrorisme. C'est vrai que le terrorisme islmiste est bien ce qu'il est, mais il faut faire des distinctions entre les choses. Toujours est il que les caciques du parti ont mis le président Obama en garde. Et il semble avoir compris.

    La seconde explication tient à la situation globale du Proche et Moyen Orient: le seul allié srable et fiable des USA, la seule démocratie présentable, la seule économie qui ne repose pas sur le pétrole et qui soit florissante et connaisse un boom est celle d'Israël Enfin, la seule armée sur laquelle les USA peuvent s'appuyer tant en Irak qu'en Afghanistan (en cas de besoin) est bien Israël. Les démocrates ont expliqué au président que se tentative de séduction du monde arabe lors de  l'allocution à l'université du CAire n'avait pas produit ses fruits et qu'il fallait pmasser à autre chose et faire de la Realpolitik.

    Enfin, il y a l'Iran qui s'est dévoilé une nouvelle fois, appelannt publiquement de ses vœux l'échec des négociations et la confrontation entre les Palestiniens et Israël.. Le reste est connu.

    Le dîner entre M. Obama et M. Elie Wiesel s'est très bien passé. A la sortie de la Masion Blanche, Elie Wiesel a parlé d'un dîner entre deux prix Nobel qui s'entendent. Or, on connaît l'engagement sans faille d'Israël aux côtés d'Israël. Les crédits d'armement et lesd dons affluent vers l'Etat hébreu. M. Obama a dû lui même reconnaître qu'il ne permettrait jamais la parité stratégique entre l'Etat juif et ses ennemis.

    Bref, tout repart comme avant. Mais dernier mais non moindre, les Palestiniens ont dû aller à Washington comme s'ils allaient à Canossa puisque leurs préalables ont été écartés.

    Tout cela posé, il convient de prier pour la paix. Donnons une chance à la paix tout en gardant les yeux ouverts. C'est exactement ce que fait désormais M. Obama. Mais il lui a fallu du temps.


  • Eric Woerth; l'épouse doit sacrififer sa carrière pour celle de son mari ministre?

     

    Eric Woerth et l'affaire Bettencourt

    Notre chère chère Tribune est revenue hier sur l'affaire. Oui, l'affaire du siècle, dirait-on. Hier matin, alors que nous revenions par train de Genève, un mai me tend la Tribune de Genève où je lis un éditorial assez virulent de notre ami Jean-Noël Cuenod, correspondat du journal à Paris.

    Pourquoi q'acahrner ainsi? Certes, il y eut au moins une rreur et au moins une imprudence, mais rien de bla^mable au plan pénal ni rien qui justifie une brusque démission. En revanche, il est quais sûr que l'homme, si honnête soit-il, ne fer pas partie du présent gouvernement. Ce n'est pas moi qui décide mais l'opinion ne le comprendrait guère après une telle avalanche de critiques.

    Lorsque cette affaire, à l'origine familiale, sera achevée, on appréhendera enfin les différentes questions qu'elle pose de manière objective/ Prenons quelques exemple:

    l'affaire de la distinction honorifique. C'est le travail de tous les élus, de toutes les personnalités jouissant de quelque notoriété que ce soit, de proposer à de terlles nominations ou promotions. Vous n'imaginez pas ce que cela représente pour les Français ce petit ruban rouge ou cette petite étoile de même couleur pour les Français. En outre, la grande chancellerie est là pour veiller au bon ordre ordre des choses.

    Enfin, le point le plus important: quel est le statut des femmes dont le mari siège au gouvernement? Je rappelle le cas d'Anne Sinclair, obligée de démissionner de la télévision quand son mari Dominique Strauss Kahn fut nommé ministre. Plus proche de nous, Madame Béatrice Schoenberg, épouse de M. Jean-Louis Borloo, qui a changé d'affectation pour abaondonner une émission politique et se rabattre sur tout autre chose.

    Est-ce aux femmes de toujours se sacrififer pour la carrière des maris.

    Tant d'autress questions se posent que nous traiterons une fois la sérénité retrouvée...

     

  • Connaissez vous le cha^teau de Coppet?

    Le cha^teau de Coppet

     

    Après tant d'années passées à enseigner à Genève, je n'avais pas eu l'occasion de me rendre à Coppet pour y visiter le château du comte et dormir à l"hôtel du Lac. quel établissement! Situé au bord du lad, avec des installations dignes d'un grand établissement de Gstaadt ou d'ailleurs.

    Je suis allé manger à l'auberge du cha^teau où la patronne nous a servi de magnifiques filets de pertche et un vin délicieux. Quel paysage, quelles ruelles, quelles arcades!

    Vraiment, j'ai été conquis par cette petite bourgade. Et j' y reviendrai sûrement, Dieu voulant.