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Vu de la place Victor-Hugo - Page 1046

  • Le professeur Charles MELA, chevalier de la Légion d'honneur

    REMISE DES INSIGNES DE CHEVALIER DE LA LÉGION D’HONNEUR A MONSIEUR LE PROFESSEUR CHARLES MELA

    Genève le 1er septembre 2010

    Mesdames, Messieurs, (et si vous le permettez), chers Amis,

    Cher collègue et ami Charles Mela,

    ou devrais-je plutôt dire, cher Maître, tant vos titres, les grands emplois que vous occupez ainsi que votre œuvre m’ont profondément impressionné.

    Permettez moi, je vous prie, de dire d’emblée que je ressens comme un grand honneur, un exceptionnel témoignage d’amitié, le privilège de vous remettre, en présence de votre chère famille et de vos amis, les insignes de chevalier de notre premier ordre national.

    Ce type de cérémonie comporte, comme vous le savez, quelques aspects convenus auxquels je me plie avec joie. Il me faut donc évoquer en quelques lignes les faits les plus marquants de votre vie et ce votre carrière.

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  • Sauver cette jeune femme iranienne, menacée de lapidation...

    Sauver cette jeune femme iranienne, menacée de lapidation...

    En parcourant la presse internationale et nationale, maints thèmes ont retenu mon attention, notamment les attentats du Hamas, la semaine sociale qui s'annonce chargée en France, mais j'ai pensé que notre devoir à tous était de voler aus ecours d'une pauvre femme, accusée de je ne sais quel crime et qui court le risque de mourir de manière atroce, suivant un rite barbare, la lapidation.

    Je ne sais pas ce qui s'est passé. Nous ignorons tous la réalité ou le fondement des accusations. Mais comment accuser une femme d'adultère quand son amri est décédé? Et comment lui imputer une responsabilité dans l'assinat de son époux?

    Enfin, comment placer une telle peine capitale su un tel délit si tant est que c'en est un?

    Franchement, le régime des Mollahs va trop loin. Qu'il s'en prenne -verbalement- aux USA, à Israël et à la France passe encore, mais qu'il menace de mort -et quelle mort- une pauvre femme déjà fouettée des dizaines de fois est intolérable.

    Au fond, il y a d'une part la culture et la civilisation, et de l'autre, la barabarie et la cruauté. On ne peut pas se taire. Je n'aime ni la luxure, ni l'adultère, ni la débauche. Mais trop, c'est trop.

  • Le président Obama et Israël

    Le président Obama et Israël

    Le temps a fait son œuvre. Encore un tout petit peu de temps et l'on ne se souviendra même plus des réticences d'Obama à l'égard d'Israël. Pratiquement tout est rentré dans l'ordre. Plusieurs explications se présentent à l'esprit pour expliquer cette mutation qui, certes, prend son temps, mais est déjà nettement perceptible.

    La première explication est que les caciques du parti démocrate où les amis d'Israël sont très influents ont fait une sérieuse explication de texte au président actuel lui expliquant que s'il ne voulait être en voie de cartérisation accélérée, il lui fallait changer de cours politique au Proche Orient. Ils lui ont aussi expliqué qu'ils risquaient tout bonnement d'aller dans le mur lors des élections de mi mndat à cause de sa bourde monumentale concernant le lieu de culte musulman près de Ground zero. Personnellement je trouve qu'on a eu tort de confondre une religion, comme toutes les autres, avec un fanatisme et un terrorisme. C'est vrai que le terrorisme islmiste est bien ce qu'il est, mais il faut faire des distinctions entre les choses. Toujours est il que les caciques du parti ont mis le président Obama en garde. Et il semble avoir compris.

    La seconde explication tient à la situation globale du Proche et Moyen Orient: le seul allié srable et fiable des USA, la seule démocratie présentable, la seule économie qui ne repose pas sur le pétrole et qui soit florissante et connaisse un boom est celle d'Israël Enfin, la seule armée sur laquelle les USA peuvent s'appuyer tant en Irak qu'en Afghanistan (en cas de besoin) est bien Israël. Les démocrates ont expliqué au président que se tentative de séduction du monde arabe lors de  l'allocution à l'université du CAire n'avait pas produit ses fruits et qu'il fallait pmasser à autre chose et faire de la Realpolitik.

    Enfin, il y a l'Iran qui s'est dévoilé une nouvelle fois, appelannt publiquement de ses vœux l'échec des négociations et la confrontation entre les Palestiniens et Israël.. Le reste est connu.

    Le dîner entre M. Obama et M. Elie Wiesel s'est très bien passé. A la sortie de la Masion Blanche, Elie Wiesel a parlé d'un dîner entre deux prix Nobel qui s'entendent. Or, on connaît l'engagement sans faille d'Israël aux côtés d'Israël. Les crédits d'armement et lesd dons affluent vers l'Etat hébreu. M. Obama a dû lui même reconnaître qu'il ne permettrait jamais la parité stratégique entre l'Etat juif et ses ennemis.

    Bref, tout repart comme avant. Mais dernier mais non moindre, les Palestiniens ont dû aller à Washington comme s'ils allaient à Canossa puisque leurs préalables ont été écartés.

    Tout cela posé, il convient de prier pour la paix. Donnons une chance à la paix tout en gardant les yeux ouverts. C'est exactement ce que fait désormais M. Obama. Mais il lui a fallu du temps.