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Vu de la place Victor-Hugo - Page 1178

  • Les banques, les particuliers et les entreprises

    Les banques, les particuliers et les entreprises

    C’est devenu un véritable leitmotiv, une litanie ou presque : les banques ne font pas leur travail. En ces temps de crise grave, elles y regardent à deux fois avant de prêter aux uns ou aux autres. En soi, ce ne serait pas grave, n’étaient les conséquences qui découlent de cette frilosité et de ce refus de prendre le moindre risque : des faillites en cascade, une stagnation de la consommation, le tout accompagné d’un malaise, d’un mécontentement général.

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  • Le 1er septembre 1939 : il y a soixante-dix ans…

    Le 1er septembre 1939 : il y a soixante-dix ans…

    Le 1er septembre 1939, il y a déjà soixante-dix ans, Adolf Hitler lançait ses hordes nazies contre la pauvre Pologne, victime une nouvelle fois de sa position, coincée entre une Allemagne belliqueuse et dominatrice et une URSS avide et aux aguets. Une nation victime de sa géographie. Cette tragédie nous enseigne au moins deux principes, toujours valables aujourd’hui : les petites nations ne peuvent compter que sur elles mêmes et ne doivent confier ni leur sécurité ni leur défense à d’autres. Et, enfin, les grandes puissances recourent à la force chaque fois que l’occasion se présente de faire prévaloir leurs intérêts.


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  • LA FRANCE, MALADE DE SES BANLIEUES ?

    LA FRANCE, MALADE DE SES BANLIEUES ?
    La rentrée approche et les problèmes qu’elle véhicule généralement, aussi. Il y a eu, depuis quelques semaines des événements graves qui se soldés par la mort d’un adolescent dans une banlieue parisienne au point que le Ministre de l’Intérieur a décidé de réunir une table ronde entre les jeunes des banlieues et les représentants de la police.  Il faut saluer cette initiative en espérant qu’elle empêchera aussi la survenue d’autres événements graves. Mais en fait quel est l’enjeu ?
    Il faudrait tout reprendre ab ovo. On connaît l’enchaînement des faits : pendant les années d’expansion économique, on a eu besoin de main d’œuvre et on a fait venir des ressortissants d’anciennes colonies d’Afrique noire et d’Afrique du Nord. Durant le septennat de M. Giscard d’Estaing, il y eut cette fameuse loi du regroupement familial en laquelle certains experts (dont je ne suis pas) voient la source, l’origine de tous les maux actuels. Mauvais accueil, promiscuité, entassement de populations différentes dans de lointaines banlieues (ce terme même est moche et devrait être remplacé !) loin de tout, créant des îlots à la fois de précarité et aussi, hélas, d’insécurité. Selon certains, ces travailleurs firent venir du pays des gens avec lesquels ils n’avaient que très peu de liens familiaux, créant en métropole de graves problèmes d’adaptation sociale et culturelle.

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