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Vu de la place Victor-Hugo - Page 338

  • Que reste t il de Jérusalem?

    Que reste t il de Jérusalem…

    Il arrive que le hasard fasse bien les choses. Mais pas toujours, ce n’est pas une loi absolument infaillible. En revanche, au fil des lectures, il arrive que l’on tombe sur des références qui fassent un véritable clin d’œil à l’actualité internationale la plus brûlante. C’est donc le cas avec la ville si disputée de Jérusalem que tous veulent posséder, comme si cette ville n’était qu’un espace alors qu’à l’évidence, il s’agit d’un lieu hors du temps, d’un espace spirituel que tout homme peut posséder dans son cœur : il lui suffit d’y penser très fort en fermant les yeux, où qu’il se trouve sur toute l’étendue du globe terrestre.

    La main du hasard ou celle de la Providence a revêtu les atours du nouveau président américain qui chaque jour que Dieu fait, ne cesse de défrayer la chronique ; sa position sur le sujet est connue, il l’a dit et redit : il compte transférer son ambassade de Tel Aviv à Jérusalem et la simple mention de ce déménagement promet de susciter de graves tensions dans la région mais aussi dans d’autres régions du monde.

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  • Ce que cache le «Je vais tout changer» de Donald Trump: de l’altérité en politique...

     

    Ce que cache le «Je vais tout changer» de Donald Trump: de l’altérité en politique...

     

    Avant toute chose, précisons un point : ce papier est rédigé près de dix heures avant l’investiture si attendue de Donald Trump. Il vise à analyser de la manière la plus objective possible ce que représente cet homme, le président du plus puissant pays au monde, dans un univers qui ne se remettait plus en question, fondait lui-même pour lui-même ses propres lois et qui est contraint d’accueillir un nouveau venu qui veut tout changer ; on l’accueille comme un petit chien dans un jeu de quilles.

     

    Au fond, la pratique politique, le monde politique, ont toujours joué le jeu qu’ils ont voulu sans jamais accepter  la différence, l’altérité. Il fallait accepter qu’une partie d’un pays gouverne contre l’autre partie de ce même pays. J’ai entendu des gens, pourtant intelligents, des commentateurs avisés de la chose politique, dire des choses étonnantes sur le nouveau président. C’est comme si cet homme qui a réussi à s’imposer, à braver tous les dangers, et ils furent nombreux, à rallier à lui des millions d’Américains, devait se soumettre aux critères de la grande presse nationale et internationale et faire allégeance à l’establishment politique, quel qu’il soit. Etonnante démarche des coryphées de la presse mondiale qui crient au scandale parce quelqu’un viole, et de quelle façon, leur petit univers politico-médiatique. Ces gens n’ont rien compris au résultat du vote : bien sûr que Madame Clinton a eu plus de suffrages, mais elle avait un inconvénient majeur qui s’est transformé en un handicap insurmontable : elle faisait figure de candidate de l’establishment, des couches supérieures de la population, en un mot des élites. Et c’est justement contre ces milieux là, réputés responsables de tous nos maux, que les gens ont, à tort ou à raison, voté. C’est ce ras le bol qui a fait que rien n’a pu stopper non pas la vague, mais le raz-de-marée Trump.

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  • Donald TRum, le président auquel Obama n'aura rien épargné

     

    De Barack Obama à Donald Trump: une transition des plus «inhabituelles»

     

    Il n’est pas nécessaire d’être grand clerc ni très fin politologue pour imaginer ce que diront les historiens, dans quelques décennies, du passage d’Obama à Trump. Il faudra du temps pour que le jugement porté sur l’actualité brûlante échappe enfin aux journalistes et tombe dans  le creuset de la critique historique. Mais on peut déjà dire que cette transition, cette passation de pouvoir, ne ressemble à aucune autre. Et que rien n’aura été épargné au nouvel occupant de la Maison Blanche.

     

    L’élection de Trump s’est faite contre vents et marées et a contrarié bien des plans, notamment élaborés par le clan Obama qui se voit contraint de changer de stratégie pour faire face à une situation que nul n’avait imaginée. Faisons une brève rétrospective pour mieux comprendre  ce qu’il faut bien appeler la hargne du président sortant.

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