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Vu de la place Victor-Hugo - Page 502

  • Noël une fête du Christ ou une fête païenne?

    Si je ne m'abuse, l'année dernière, à la même époque, je livrais mes éflexions désabusées sur l'évolution de la fête de Noël et jour de l'an: de célébration religieuse et spirituelle, les populations chrétiennes ou se prétendant telles, sont tombées dans le giron des fêtes païennes les plus repoussantes. De là où je me trouve présentement, j'ai accès à des chaînes françaises de nouvelles et je vois qu'une prétendue journaliste donne des conseils pour manger beaucoup sans trop souffrir. Elle a même recommandé de boire du café salé afin de vomir et rendre tout ce que l'on a mangé. Elle a même énoncé une succession de mets de fêtes (huitres, foie gras, vins, champagne, chocolats, marrons glacés, etc)

    Mais Seigneur Dieu, est ce qu'on attend le jour de Noël ou le jour de l'an pour enfin manger des mets délicieux? Est ce qu'on se canatonne, le reste de l'année, à des pâtes, des pommes de terre et des fuuits de piètre qualité? Je comprends bien que l'ambiance de la fête est fortement nourrie par une table bien décorée, des vins fins, des mets equis, mais tout de même: recommander de vomir parce qu'on a trop mangé, c'est trop!

    Quand j'étais jeune, les sociologuqes dénonçaient déjà la société de consommation. Je regardais la chose d'assezloin. Aujourd'hui, je trouve que le travail de réveil des consciences n'a pas été fait. Notamment l'église chrétienne qui est la plus largement représentée, puisque la France et la Suisse sont des pays à domiante judéo-chrétienne.

    Mais il n'est jamais trop tard pour bien faire:il es encore temps de re-spiritualiser Noël et le jour de l'an. On peut boire et manger, tout en sacralisant cettte action naturelle pour la survie par la prière ou la méditation. Penser, par exemple, à ceux qui manquent de tout et songer à les aider. Alléger la souffrance d'autrui, partager.

    C'est bien cela le sens des fêtes.

  • Vladimir Poutine, le début de la fin ? Il semble que la situation de la Russie ne s’améliore guère en raison des sanctions occidentales mais aussi de la chute des prix du pétrole, une ressource d’où le Kremlin tirait tire l’essentiel de ses revenus. Le ra

     

    Vladimir Poutine, le début de la fin ?

    Il semble que la situation de la Russie ne s’améliore guère en raison des sanctions occidentales mais aussi de la chute des prix du pétrole, une ressource d’où le Kremlin tirait tire l’essentiel de ses revenus. Le ralentissement de l’activité mondiale, la surproduction de pétrole, en raison notamment de l’activation de cette richesse minière aux USA ont fait que la Russie ne supportera pas le choc. Les réserves en devises étrangères, certes confortables pour le moment, ne pourront pas, à la langue, tenir. Poutine s’est engagé dans une voie sans issue et fera pas machine arrière. Ce qui signifie que son étoile pâlit aux yeux des oligarques, fidèles soutiens du régime. Or, ces gens ont déjà perdu des milliards de dollars et il n’est pas du tout sûr qu’ils consentent à en perdre d’autres. Peu leur chaut l’Ukraine, la Crimée et tout le reste,  les financiers apprécient le calme, l’assurance et la confiance. Or, Poutine croyait pouvoir se conduire comme un véritable gangster en annexant une partie d’un pays voisin, même si, historiquement, la Crimée ne faisait pas partie de la mère patrie ukrainienne. Mais laisser faire le maître du Kremlin sans réagir, c’était laisser la porte ouverte à tous les abus et les méfaits à venir : après Saddam a perdu son pays et sa vie parce qu’il avait voulu annexer le Koweït.

    Quand on parle ici avec des israéliens d’origine russe, ils aiment tous Poutine car, disent ils, il combat durement les Tchéchènes et n’est pas antisémite… Mais ces mêmes ersonnesque le tourisme russe en Israël, et notamment à la Mer Morte, est déjà largement impacté par la crise. Personne ne s’éttend à un afflux de touristes russes au printemps, la meilleure saison pour se rendre à la Mer Morte. Mais j’ai aussi constaté le grand nombre d’Ukrainiens juifs ici, sur place, qui n’aiment les gouvernants de Kiev.

    Que va faire Poutine puisqu’il lui faudra de longs mois, voire des années, pour redresser la barre ? Comme il ne démissionnera pas et comme il ne reviendra pas sur ce qu’il a fait, il va durcir son régime, aller vers plus de confrontation avec l’Occident et pincer la corde si sensible  du nationalisme russe : d genre, le monde entier est contre nous, unis nous serons plus forts.

    Le problème est que l’homme du peuple peut suivre mais pas les oligarques. Là aussi, Poutine aura deux possibilités : soit les amadouer en leur octroyant encore plus de privilèges, soit frapper fort et jeter en prison les plus dangereux et les plus récalcitrants. Je pense à Kodhorkowsi  qui doit apprécier la nouvelle situation russe du fond de son exil helvétique.

  • Dans les rues et les marchés d'Israël

    Dans les rues et les marchés d'Israël

    Une chose ne laisse pas d'être frappante ici: la langue française est parlée par un Israélien sur trois ou sur quatre. Et pourtant, en raison de l'opposition farouche du Liban, Israël est enu à l'écart de la francophonie. Il y a plus de deux ans, j'avais rencontré le directeur de cabinet de la ministre de la culture qui m'avait dit ceci verbatim: qu'Israël pose sa candidature et elle sera examinée avec attention. Le problème est que l'admission d'un nouveau membre requiert l'unanimité et là chacun sait que les chiites et les unnites libanais n'accepteront jamais. C'est ainsi qu'une anomalie se prolonge et qu'Israël qui aimela culture française s'en trouve exclue, du moins des aréopages officiels

    Il serait temps de emédier enfin à cette anomalie. Il suffirait de modifier les statuts.

    Mais au Proche Orient, tout ce ui est facile ailleurs est très difficile ici. Voire insurmontable.