Si je ne m'abuse, l'année dernière, à la même époque, je livrais mes éflexions désabusées sur l'évolution de la fête de Noël et jour de l'an: de célébration religieuse et spirituelle, les populations chrétiennes ou se prétendant telles, sont tombées dans le giron des fêtes païennes les plus repoussantes. De là où je me trouve présentement, j'ai accès à des chaînes françaises de nouvelles et je vois qu'une prétendue journaliste donne des conseils pour manger beaucoup sans trop souffrir. Elle a même recommandé de boire du café salé afin de vomir et rendre tout ce que l'on a mangé. Elle a même énoncé une succession de mets de fêtes (huitres, foie gras, vins, champagne, chocolats, marrons glacés, etc)
Mais Seigneur Dieu, est ce qu'on attend le jour de Noël ou le jour de l'an pour enfin manger des mets délicieux? Est ce qu'on se canatonne, le reste de l'année, à des pâtes, des pommes de terre et des fuuits de piètre qualité? Je comprends bien que l'ambiance de la fête est fortement nourrie par une table bien décorée, des vins fins, des mets equis, mais tout de même: recommander de vomir parce qu'on a trop mangé, c'est trop!
Quand j'étais jeune, les sociologuqes dénonçaient déjà la société de consommation. Je regardais la chose d'assezloin. Aujourd'hui, je trouve que le travail de réveil des consciences n'a pas été fait. Notamment l'église chrétienne qui est la plus largement représentée, puisque la France et la Suisse sont des pays à domiante judéo-chrétienne.
Mais il n'est jamais trop tard pour bien faire:il es encore temps de re-spiritualiser Noël et le jour de l'an. On peut boire et manger, tout en sacralisant cettte action naturelle pour la survie par la prière ou la méditation. Penser, par exemple, à ceux qui manquent de tout et songer à les aider. Alléger la souffrance d'autrui, partager.
C'est bien cela le sens des fêtes.