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Vu de la place Victor-Hugo - Page 644

  • Le retour des otages en France et la crise économique du pays

    La libération des otages français retenus par AQMI

    C’est incontestablement une bonne nouvelle, bonne pour les otages et leurs familles, bonne pour François Hollande et bonne pour la France. Mais cela ne suffira pas hélas à mettre fin à l’incertitude économique et politique qui menace gravement ce pays. Le journal Le Monde qui n’a certes plus la même autorité morale que jadis mais qui reste encore un peu une feuille de référence s’interroge dans sa une sur la capacité de François Hollande à gouverner.

    Que l’on se rassure, la France est solidement ancrée dans le camp démocratique et nul ne s’avisera d’exiger je ne sais quel ajustement afin que la majorité sociologique coïncide avec la majorité présente à l’Assemblée Nationale ? Mais cette série de reculades n’augure rien de bon, ni pour le pour le gouvernement ni pour la France.

    Les gens s’interrogent sur la capacité de François Hollande à gouverner et relèvent que l’on ne dirige pas un tel pays comme on dirige un parti politique, le PS en l’occurrence. Or, c’est qui se semble se dérouler sous nos yeux encore incrédules. Il y a ceux qui critiquent la composition du gouvernement actuel et en dénoncent l’impéritie et l’inexpérience. Et il y a ceux, enfin, qui jugent inacceptable la politique même de ce gouvernement. D’où une triple inadéquation entre le pays et le pouvoir actuel.

    Mais ce qui caractérise selon certains la vraie paralysie de ce gouvernement, c’est l’incohérence au sein même de l’équipe gouvernementale : comment faire cohabiter dans le même groupe le ministre de l’intérieur et celui de la justice ? Commet accorder le ministre du redressement productif (quel nom !) avec celui des l’économie et des finances ? ON a la fâcheuse impression qu’il s’agit de la quadrature du cercle.

    Comment faire ? Je ne sais. Mais une chose est certaine, cela ne peut pas durer indéfiniment. Un seul homme, seul dans tout le pays, croit à l’inversion de la courbe du chômage avant la fin de l’année. Un seul homme dans tout le pays croit que la défaite aux prochaines élections, européennes et municipales, n’affecterait pas sa gouvernance… C’est assez risqué, surtout quand voit la partie recette du budget de 2014.  Un grave problème risque de se poser avec une acuité dont les Bretons nous ont offert un avant-goût : le non consentement des Français à l’impôt…

    Il faut redoubler d’attention : avez vous remarqué la couleur du bonnet des manifestants bretons ?

    Le retour des otages est bienvenu et il faut féliciter chaleureusement tous ceux qui y ont pris part, mais quid de la situation socio-économique du pays ?

  • Qui est vraiment François Hollande?

    Qui est vraiment François Hollande? Nous ne sommes variment pas les seuks à nous poser la question. Même la presse de gauche, et on ne parle pas ici de l'extrême gauche de Jean Luc Mélenchon, s'interroge avec une inquiétude non dissimulée. Les questions qui reviennent le plussouvent sont celles ci: le président de la République accorde assez d'importance à la visibilité de sa politique? Est il bien entouré? POurqui cette valse hésitation qui pousse à annuler des lois venant d'pêtre votées? Après tout, gouverner, c'est prévoir.

    L'opposition dont le rôele est de talonner le pouvoir, n'a pas tardé à s'engouffrer dans la brèche: Hier ce fut Ce fut l'ancien ministre Xavier Bertrand qui s'interrogeait sir les capacité du chef de l'Etat à exercer ses fonctions, aujourd'hui dans Le Figaro c'esst alain Juppé qui enfonce le clou en déonçant l'imépritie et le manque de savoir faire du gouvernement. Quant au journal Le PArisien, il fait sa une en toute simplcité sur: ça ne va pas...

    Les sttratèges proches du piuvoir, voire même qui le conseillent, présentent le plan suivant: 2013 et tout 2014 seront horribles au plan social et au niveau de la fiscalité. En 2015 environ, les mesures d'asutérité auront, espère t on, produit leurs effets salvifiues.. EN 2016, c'estl'embellei, à moins que tout ne trompe et l'année suivante, le président se fait réélir..

    Est ce scénario est réaliste? En tout cas il s'appuie trop sur des hypothèses qui snt loiins d'être réalistes.

    Il reste une autre possibilité sue je ne souhaite pas car elle impliquerait trop d'instabilité politique dans le pays: ce serait une dissolution soudaine de l'assemblée nationale afin que la majorité politique soit proche de la majorité sociologique, c'est à dire en termes plus clairs, que le réel mécontentement du pays puisse s'exprimer au gouvernement. Evidemment ce sont d'autres élus qui émergeraient. Et Monsieur Hollade vivrait une cihabitation...

    Est ce qui va se passer? Seul l'avenir nous le dira..

  • Un scénario à la tunisienne?

    Le scénario à la tunisienne: un exemple pour les autres pays arabes?

     

    Il semble que la petite Tunisie soit en train de sortir graduellement de la crise qui la paralyse depuis le début de sa révolution. Et ce qui se dessine est assez surprenant puisque le partic qui s'était fait plébisciter lors des élections sera rejeté dans les poubelles de l'histoire. Ce ne sont pas des forces extérieures à la Tunisie qui en ont décidé ainsi mais les Tunisiens eux même qui renoueront ainsi avec leur vraie tradition de carthaginois: tolérence, solidarité avec tous les autres peuples et rejete de l'exclusivisme religieux.

    Le parti qui s'était imposé est rejeté de toutes parts et il ne fait aucun doute qu'il ne sera ainsi par la suite.

    Il est évident que les enseignements à tirer de cette expérience tunisienne sont nombreuses et historiquement importantes.
    D'abord, ce pays prend ses vraies dimensions, petites, réduites et ne pouvant pas développer une politique agressive à l'égard de quoi que ce soit. L'économie repose sur les olives et le tourisme. L'artisanat vitn peu mais ne saurait concurrencer les grands sites marocains ou iraniens.

    Il est dommage que ce petit pays nsoleillé et clame soit ombé entre les maisn des islamistes. Par delà les frontières de ce petit pays, on peut voir que l'islamisme ne marche pas. Tout au contraire.

    Tout ce temps perdu, c'est bien dommage. Quant à la constitution, il faut se garder de tous les écueils qui mettraient la Tunsieie au ban des nations civilisées. Serons  nous entendus? L'avenir nous le dira.