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Vu de la place Victor-Hugo - Page 658

  • Mr oBAMA ET LES M2ANDRES DE LA PENS2EE

    <M. Obama a tteint les limites du supportable. Il s'est lui-même fourré dans un inextricable guêpier. Et voici que depuis hier il a enrichi une danse qui se pratiquait au Moyen Âge, d'un genre nouveau. Il s'agit du fameux drapier des lanciers: un pas en avant et trois pas en arrière!

    On a déjà eu l'occasion de dire notre pensée sur ce cours en zigzag du président actuel des USA. Il commence par dire qu'il va y aller, qu'uil y a une ligne rouge et que l'on va voir ce que l'on va voir. Ensuite, il dit qu'il attend les preuves. Une fois les preuves réunies, il décide de ne pas décider car, ajoute t il, on ne sait pas certitude qui a mis en oeuvre les armes chimiques. Encouragé par ces atermoiements, Bachar récidive sur une grande échelle et l'opinion publique mondiale est horrifiée par ce qu'elle voit. L'émotion est considérable.
    M. Obama comprend enfin qu'il doit réagir. Il se lance dans l'affaire avec tant de maladresse que ce fidèle allié britannique lui fait défaut. Le président US réplique qu'il n'a en vue que les intérêts américains. Donc, il se prépare à y aller.

    Mais il y va sans y aller tout en y allant! Peu sûr de lui-même, M. Obama prend soint de préciser qu'il ne veut pas renverser Bachar, ni provoquer un changement de régime, mais simplement punir, faire peur et prévenir un futur recours aux armes chimiques.

    Et enfin, dernière trouvaille, car M. Obama n'est jamais à court d'idées, il veut une consultation du Congrès des Etats Unis!!!

    Seigneur, et cet homme préside aux destinées de la plus grande nation au monde. On peut comprendre les griefs des Républicains quand ils parlent de cette présidence.

    Avez vous déjà un attaquant informant précisément son ennemi de la date de l'attaque?

    M. Obama a affaiblit la position des USA.

  • Restaurer la crédibilité des USA et de l'Occident

    REstaurer la crédibilité de l'Occident...

    Ce n'est pas la première fois que l'on pointera iciles défaillances et les déficiences de l'actuel président US: quand on est un grand homme d'Etat, on ne suit pas les variations de l'opinion publique. On agit. Deux tendances contradictoires semblent avoir animé les responsables US et M. Obama n'a pas eu l'autorité nécessaire pour trancher.

    On lui a expliqué quil avait parlé deligne rouge mais que les Syriens l'avaient maintes frnahcie, en dépit de ses mises en garde. Que fallait il faire? Attendre que BAchar élargisse sur une très grande échelle le recours aux armes chilmiques? Et surtout on a expliqué à ce président que la Corée du Nord et l'Iran le guettaient, le surveillaient à laloupe. C'est cela qui l'a incité à agir.

    Mais comment voulez vous que les frappes aient de l'effet lorsque le commandant en chef en relativise lui-même considérablement la portée? Comment voulez vous que BAchar tremble lorsqu'il entend Obama dire qu'il ne veut pas sa chute? Comment voulez vous que les insurgés syriens ne maudissent pas en leur for intéreur le nom de ce président US qui voir mourir leurs enfants sans rien faire?

    Je trouve bien meilleur le discours de John Kerry qui a dit que l'on ne peut accepter un monde où l'on gaze des enfants qui n'ont rien fait sinon jouer dans la cour de récréation d'une zone enue par les rebelles..

  • La grande confusion autour de la Syrie

    La grande confusion autour de la Syrie

    Si au moinscette avlse hésitation conduisait le tyran de Damas à s'amender et à respecter son peuple, alors, cette confusion serait bienvenue. Mais en réalité, même si les USA vont de toutes manières y aller, il aurait fallu éviter cet immense battage médiatique qui n'avait plus qu'ç ajouter la date et les lieux exacts de la réaction occidentale. Il ne fallait pas agir de la sorte.

    Que va t il se passer désormais? Les USA vont agir. Est ce bien, est ce mal? Les deux options se défendent. Car si l'attaque intervient vraiment, les conséquences sont dures mais pas incalculables, ni la Syrie ni l'Iran ne sont en mesure de réagir fortement. Mais si rien ne se passe, alors BAchar se sentirait reagaillardi, les Occidentaux passeraient des impuissants et des incapables aux yeux des Orientaux et l'opposition syrienne, tant politique que militaire, serait désespérée.

    Dans un cas comme dans l'autre, l'affaire a été mal engagée. Mais je ne vois pas le Pr Obama rester inerte, ce serait la fin de sa crédbilité à tout jamais. Or, il est encore à  la tête des US pour trois longues années..

    Et puisq eulel beptise: annoncer des frappes alors que les experts de l'ONU sont encore sur place!!

    Quant au vote (non contraignant) du parlement britannique, il ne faut pas en surévaluer l'importance: sans agir  visiblement, les Britanniques peuvent agir en coulisses, surveillant l'espace aérien syrien, espionnant les communications entre les unités militaires et assurant les arrièresde l'armée US. Et puis l'Amérique peut très bien agir seule

    Ici, en Israël, la vie coule comme un long fleuve tranquille. Hier soir, les gens vaquaient à leurs occupations, faisant leurs emplettes pour lez chabbat. Mais le gouvernement a discrétement rappelé quelques milliers de réservistes afin de parer à toute éventualité.