Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Vu de la place Victor-Hugo - Page 657

  • Le Caire brûle-t-il?

    Pui, l'Egypte donne l'impression de sombrer, mais les généraux tiennent le coup et ne cèdent pas. Le pouvoir a toujours été entre les mains des militairs et la chute du président Moubarak fut une erreur ou, à tput le moins, un fait prématuré. L'Egypte n'était pas prête pour passer des mains d'un régime autoritaire à un autre régime islmaiste. Toujours l'autoritarisme mais d'une autre couleur.

    Le nombre de morts est accablant, mais les militaires et la majorité de la population se disent que c'est hélas le prix à payer pour rétablir l'ordre et pour que l'Egypte redevienne un pays calme.

    L'armée et les frères musulmans sont ent rain de constater qu'il n y aura plus jamais de terrain d'entnte entre eux. Je le refis encore une fois: du lieu secret où il a été transféré, le vieux Raïs qui a nommé tous les généraux en ces trente dernières années, doit regarder ce spectacle avec un mélange d'amertume et de satsfaction. Lui seul a pu régner en maître absolu sur les bords du Nil, connaissant fort bien ce pays qui l'a vu naître et dont il a su rassembler les forces comme personne avant lui.

    Mohammed Morsi ne rviendra plus jamais au pouvoir et il est prévisible que les généraux lui intenteront, par une justice aux ordres, un certain nombre d'accusations qui se traduiront par un certain nombre d'annnées de prison. Du coup, les condamnations pluevront et son casier judidiciare l'empêchera de candidater une nouvelle fois...

    Un dernier mot: les riverains des places occupées par les pro Morsi ainsi que les acteurs de la vie économique ne supposrtaient plus ce qui s'apprenatit à une véritable paralysie de la vie ésociele et économique: comment sirculer dans les rues de la capitale égyptienne dans un tel désordre qui commençait à trop durer? Il fallait y mettre un terme. Or, les Frères musulmans ne faisaient pas le poids face à l'armée, unique détentrice du pouvoir depuis le début des années cinquante: on ne change pas comme cela un état de faits qui dure depuis des décennies.

    Le seule risque qui pourrait menacer cette reprise en maixn est un mouvement dissident au sein de l'armée, mais le jeune généralisme al-Sissi veille: il s'est déjà assuré de la persnne de certains commandants d'unités, sensibles aux appels de Mohammed Morsi. Et surtout, sa position de chef d'état mjaor et de ministre de la défense lui donnent la haute main sur l'armée, seule force oranisée et discplinée du pays.

    L'ordre régnera sous peu (ba'ad qalil) sur les bords du Nil. Mais il faut absolument arrêter l'ffusion de sang.

  • La loi et l'ordre face à la justice et à la liberté?

    La loi et l'ordre face à la justice et à la liberté?

    Depuis des lustres, les ministres de l'intérieur et de la justice s'opposent en raison de leurs désaccords. ESt ce que ces désaccords sont irréductibles, inconciliables? Il semble que oui car les deux orgnaosmes défendent des vues opposées. La justice et c'est tout à son honneur poursuit un objectif: veiller au respect des lois en toutes circonstances, respecter la dignité humaine, accorder à tous le droit de se sdéfendre (même aux pires criminels, les violeurs et knidnappeurs d'enfantss, etc…) alors que le ministère de l'intérieur est celui de la sécurité et de l"ordre public.

    En fait, si vous êtes arrêté un jour par des policiers, vous aurez besoin d'un avocat qui se prévaudra des lois en vigueur pour vous défendre et exiger votre libération, si aucune charge sérieuse ne spèse sur vous. En fait, les deux organismes doivent se compélter. Mais c'est plus facile à dire qu'à faire.

    Et on voit, selon tous les sondages, que les Français sont mécontentents de leurs justice et donc de ceux qui la rendent eu leur nom. On dénonce de plus en plus le laxisme des juges et ces derniers rétorquent en dénon!çant à leur tour le délire sécuritaire de leurs concitoyens.

    On peut considérer que les délinquants sont généralement mieux traités que leurs victimes. Certes, les prisons ne sont pas des cluvbs Méditerranée, mais apr!s tout quna don est en prison, ce n'est pas pour rien. IL faut respecter la dignité humaine mais la privation de liberté signifie bien quelque chose.

    J'ai été bouleversé par le reportage de cette pauvre maman qui déplorait le viol de sa jeune fille par un multirécidiviste qui était en régime de semi liberté. REndez vous compte, rélléchissez à qui vous pouvez rencontrer dans la rue ou sur la route. Est ce que de tels prédateurs peuvent être remis en liberté, même conditionnelle? Non point.

    Quand on commet des crimes et / ou des délits, c'est en prison qu'on vous envoie. Pas en semi liberté ni en résinsertion.

    Il est très triste qu'on fasse de ce débat, crucial pour la vie en société, un thème éectoral ou idéologique. Tout le monde devrait être pour la sécurité des personnes et des biens.

  • La ville de Marseille, une ville française comme les autres?

    Oui, Marseilles est-elle encore aujourd'hui une ville fançaise comme les autres?

    La question se pose légitimement lorsqu'on prend connaissance d'une certaine réalité, de plus en plus dénoncée par des acteurs présents in situ. Ce matin, on pouvait écouter les déclarations très marseillaises du député PS Patrick Menucci, celui là même qui défendait les thèses de Ségolène Royal avant de se choisir des références plus obligeantes aujourd'hui. Il a dit deschoses justes et intéressantes mais il n'a pas vraiment répondu aux questions posées par le journaliste. Pourquoi?

    Parce que Marseille est devenue une ville en déshérence, une ville où la population immigrée n'est pas vraiment intégrée où la vie est certes belle grâce à la mer et au ciel bleu mais où beaucoup de gens vivent avec un salaire minum très bas ou des minima sociaux. Il y a aussi à Marseille une insécurité très grande: depuis le début de l'année, on dénombre pas moins d'une dizaine de meurtres par armes à feu sur la voie publique en raison d'une lutte à mort de trfaic de drogue. Tout à l'heure, sur BFM TV le journaliste a repris les déclarations de certains bons marseillais, français de souche, qui se plaignent de ne plus se sentir chez eux, d'être envahis par des populations étrangères, bref, si on les comprend bien la canebière de Marcel Pagnol a vécu.

    Il faut prendre garde, il ne faut pas abandonner une telle ville à ce triste sort, il suffit de voir les progrès du FN sur place pour comprendre que la population française en a assez de ce sentiment de malvivre et de malêtre. D'après le dernier sondage en date, ce serait le parti de MArine Le Pen qui se classeraits econd s'il y avait des élections aujourd'hui. Or, les élections muicipales auront lieu dans quelques mois et il est peut être un peu tard pour changer les choses.

    Dans des affaires comme celles-ci, il faut remiser l'idéologie au magasin des accessoires et écouter les cris d'une population qui souffre.