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  • Christiana Figueres et Tom Rivet-Carnac ; Inventons notre avenir (Albin Michel)

    Christiana Figueres et Tom Rivet-Carnac ; Inventons notre avenir (Albin Michel)

    Ce livre ou plutôt ce catalogue se veut un grand cri d’alarme, lancé par deux personnalités qui prennent très à cœur le changement climatique et l’avenir, largement compromis, selon eux, de notre planète. Le lecteur gentil comme moi ne comprendra pas cette véhémence qui éloigne plus qu’elle n’attire. Mais quand on défend une cause, de manière intelligente, il faut prendre à cœur de ne pas exaspérer ou menacer des pires sanctions d’éventuels lecteurs qui préféreront attendre tranquillement chez eux l’apocalypse qui va s’abattre sur eux et condamner l’humanité à une mort quasi certaine. Puisqu’on ne peut plus rien faire ; alors que si on y va prudemment, on pourrait alors vraiment inventer avenir…

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  • Isaac Babel, Mes premiers honoraires (Gallimard)

    Isaac Babel, Mes premiers honoraires (Gallimard)

    Mais qui se souvient aujourd’hui du nom d’Isaac Babel, écrivain natif de Russie en 1894 ? Issu d’une famille juive, il se rallie à la révolution bolchevique et rejoint même l’Armée Rouge. Malheureusement, il est arrêté et incarcéré à la suite d’une dénonciation calomnieuse . Critique du système stalinien qui se met en place pour succéder à Lénine, il est fusillé en 1940. Dès lors, une chape de plomb ou un silence de mort s’abat sur lui et sur son œuvre. Mais en 1957 il a droit à une réhabilitation, comme tant d’autres grands écrivains russes tombés en disgrâce du temps du stalinisme.

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  • Les tout premiers pas de la nouvelle administration américaine…

    Les tout premiers pas de la nouvelle administration américaine…

    Le monde entier scrute la moindre disposition du président Joe Biden, certains pour s’en féliciter (et ils sont les moins nombreux) d’autres pour s’en féliciter (et ils se comptent sur les doigts d’une seule main). Le nouveau président US, un vieux de la vieille qui traîne dans les couloirs du capitole depuis plusieurs décennies, accède enfin au tout premier plan alors que jusqu’ici il était confiné aux seconds rôles. Aujourd’hui, il est contraint de se soumettre à la loi d’airain du réel, du concret et du vivant. Il est obligé de constater que l’anti-trumpisme qu’il a cru pouvoir pratiquer et lui servir de politique, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur, butte contre ses limites. On peut tout faire avec du ressentiment, sauf une politique. C’est le niveau le plus élémentaire de la science politique

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