Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Vu de la place Victor-Hugo - Page 1053

  • Hier soir, dans la brasserie de Tel aviv, Itzig ha-Gadol

    Soirée dans la brasserie Itzig ha gadol

    Sur le coup des vingt heures trente, nous décidons de partir  à Tel Avib dîner chez Itizg ha gadol, sorte de brasserie ressemblant à la brasserie Flo à Paris, mais dans style oriental. A l'israélienne, quoi.

    Joathan venait de rentrer de PAris et il n'était pas fatigué pour nous mener rondement vers le lieu désiré. Au sortir du véhicule, un ent chaud, une véritable étuve nous surprend. NOus faisons quelques mètres à pied et voila que devant le restaurant se forme une petite file d'attente. Par bonheur, ceux qui sortent plus nombreux que ceux qui attendent d'entrer. Le gardien annonce trois et l'on conduit à notre table. Je parle hébreu avec le serveur arabe israélien pour lire: comme d'habitude, on choisira le plat principal après...

    Et c'est l'avalanche: un autre serveur apporte deux énorme petot, une sorte de pain cuit sans mie et près d'une vingtaine de raviers avec des hors d'oeuvre: aubegines, carottes, pommes de terre, piment et poivrons, aubergines, bref une orgie de plats.

    Comme le dit le dicton l'appétit vient en mangeant: on commande d'escellentes bières à la pression (ce que je ne fais jamais) et des grillades

    Je jette un coup d'oil autour de moi: quelques rares tables d'Israéliens, une multitude Français à tel point que le restaurant a décidé de faire imprimer une carte dans notre langue, ce qui ne fut pas le cas l'année dernière. Nous prenons des brochettes de viande hachée, des keftas (en arabe). Les gens ont l'air détendu, les tables sont couvertes de victuailles, bref tout le monde semble heureux, d'autant, demain, c'est vendredi et le chabbat se prépare.

    Je suis frappé par la joie de vivre des Israéliens qui jouissent de chaque instant. Quelques heures auparvant, j'eux une conversation avec Houmi l'électricien à qui je devais régler une facture pour le climatisuer. (Je me permets d'ajouter qu'hier je fis presque un malaise en rentrant de la mer tant il faisait chaud). ET ce même Houmy m'avait dit que la tension nerveuses que j'attribuais aux gens était imaginaire.

     

    Durant le chemin du retour, nous avons écouté à la radio le chanteur connu Eyal Golan chanter celqui qui croit n'a peur de rien (mi shé maamin lo mefahéd. Belle chanson qui fait vibrer le coeur des gens ici, surtot lorsqu'il crie que le peuple d'Israël ne renoncera jamais, ne sera jamais rayé de la carte (allusion à ceux de ses voisins qui veulent le faire disparaître).

    Bref, quelles soirée chez Itizy ha gaol qui signifie Le Grand Jacques.

    Evidemment, rien à voir avec IDI où tout est calme, les serveuses patientes et gracieuses et où tout est raffiné du début à la fin.

  • Vers un consortium israélo-libanais?

    Vers une xeploitation commune de gisemens de gaz naturel en Méditerranée?

    DEpuis quelque temps déjà, je voulais exposer ce point que j'avais lu dans les grands journaux israéliens: Israël a découvert d'énormes gisements de gaz naturel au large de ses côtes méditerranéennes. Les gisements en question sont  équidistants des côtes libanaises. Le Liban revendique à jsute titre sa part. ET ce n'est que justice. N y a t il pas là une occasion rêvée de procéder en commun à l'exploitation de ses ressources naturelles et de montrere à la face du monde que les hommes peuvent s'entendre entre eux?

    Israël a déjà mis les bouchées doubles et l'exploitation devrait commencer dans peu d'années. Le Liban, empêtré dans ses querelles intesttines, est bien en retard. Mais Israël a prévenu qu'elle agirait, en tout état de cause, même en reourant à la force si on l'empêchait de profiter des richesses des fonds marins.

    La question qu'Israël se pose est comment assurer la protection des plateformes d'exploitation. Le Moyen Orient étant ce qu'il est, il y aura toujours des gens, en l'occurrence le Hezbollah, pour tenter de semer la destruction ou au moins la pagaille. Avec l'aide ses puissants alliés, Israël travaille donc à assurer cette sécurité vitale. Mais surtout escompte que cette manne, venue du ciel, ou pardon, du fond des océans, lui raménera plus de 4 milliards de dollars par an. DE quoi faire refleurir tout le Néguev.

    N y a t il pas là une occasion rêvée de faire taire les armes et d'uvrer en commun? Je pense à une phrase du romancier Ezra Pound dans un livre lu durant mon adolescence, La tour d'Ezra. L'auteur y écrivait en substance ceci: si tu veux que les hommes soient solidaiures les uns des autres, fais leur ba^tir une tour. Si tu veux qu'ils soient ennemis, jette leur du grain...

    Que Libanais et Israéliens infligent un démenti à cette décevante et triste vérité humaine: qu'ils bâtissent ensemble l'avenir de leurs pays respectifs et veillent à la porosréité de leurs concitoyens.

  • Dans un blog, rien ne devrait être excessif

     

    Oui, dans ce blog comme dans tous les autres, rien ne devrait passer la mesure. Un ami internaute m'a demandé si j'acceptais que l'on dise à propos d'autres gens ce qui serait dit d'une autre ethnie. Ma réponse est la suivante: je n'accpete pas que l'in stigmatise qui que ce soit. Et la question m'es assez importante pour que je lui consacre le blog du jour.

    J'ai déjà eu l'occasion d'expliquer mon adhésion profonde au monogénisme, terme qui s'oppose au polygénisme. Ce qui signifie que l'humanité a beau être diverse, son origine est unique. Aucune être humain ne pourrait dire à son congénère qu'il est d'un lignage supérieur. C'est ce que la Bible entend par la création d'un seul Adam, spécimen unique dont descndent tous les humains.

    Le Talmud se demande pourquoi le Seigneur tout puissant n'a pas créé plusieurs Adam et s'est limité à un seul. La réponse profondément éthique est la suivante: afin que nul ne puisse dire à son prochain, je suis mieux que toi, je descneds du Adam numéro 1 et toi du n° 17 ou 18.

    Cette réponse coupe l'herbe sous les pieds de toute théorie raciste ou racilaiste (pour parler comme Renan).

    Concernant les écailles et les nageoires d'une part, et l'incroyance au paradis et à l'enfer, je ne vois pas bien le rapport. Mais peut-être n'ai pas encore pris un bon petit café turc. A plus tard