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Vu de la place Victor-Hugo - Page 1052

  • Rencontre ofrtuite avec les soldats de TSAHAL

    Rencontre fortuite avec les soldats de Tsahal

    Hier après-midi, nous nous dirigeonsvers le Néguev où nous ettend une fête familiale réunissant tous les membres du Mochav. Le passage obligé est le centre commercial, la station service et le café, appelé Yad Mordekhaï. Le café s'appelle désormais Café JO. Et le service y est à la fois rapide et plein d'attentions pour les clients.

    Nous nous y arrêtons pour nous rafraîchir car il fait environ 32°. Tout baisse dans ce pays en été, sauf la chaleur. Nous nous installons et commandons des boissons quand soudain je vois arriver des fournées entières de soldats lourdement armés, certains extrêmement jeunes, qui s'intallent comme des enfants aux tables pour y siroter une limonade ou déguster une crème glacée.

    Leurs officier sont un peu plus vieux et portent comme eux de solides pistoletsmitarilleurs. Je les écoute parler et distingue qu'ils sont de provenance diverse. Les uns viennent d'Israël même, d'zuatres des USA, certains même de France et d'autres d'Amérique latine. Tous sourient malgré leur lourde tache et le fait de porter les armées pr une telle chaleur.

    Je continue de les scruter quand une escouade de jeunes et gracieuses soldats fait son apparition. Mon regard croise celui d'une très belle fille aux longs cheveux noirs, lisses, retenus par un petit bandeau. Je la regarde, cette fille se déplace avec la gracilité d'une liane et son M16 épouse les mouvements gracieux de ses hanches. Je n'avais encore jamais trouvé un M16 aussi gracieux.

    Au fond de la salle, un homme jeune et athéltique ne perd rien de ce qui se passe. Il est vêtu comme tous les gardes du corps du gouvernement. Je distingue nettement la bosse formée par son arme à sa ceinture. Soudain, un homme d'une soixantaine d'années vient des toilettes, serre quelques mains et se dirige vers la sortie avec son garde. Dehors, un véhicule s'approche et un autre homme en descned, le ministre s'y engouffre et la voiture parte, elle aussi, en direction du sud.

    Pendant ce temps, les soldats parlent entre eux. J'appelle le serveur et lui demande ce qui se passe. Il me répond que des autobus conduisent les soldats vers leur base alors que d'autres la quittent pour leurs entraînements noctures au combat.

    Je promène mon regard sur toute la scène. Je me rends compte de l'extrême jeunesse de ces garçons et filles dont la plupart sont nettement plus jeunes que mes étudiants genevois. A cette différence près qu'ici les M 16 et les fusils à lunettes ponchent le sol, les chargeurs enclenchés dans le magasin.

    Curieux pays! Il y a aussi des soldats avec une kippa sur la tête qui portent le M16 à l'épaule et des livres d'étude ou de prières à la main.

    Quelle jeunesse! A leur âge, jétais, moi, en première année de fac à la Sorbonne, allant au cinéma et au café de Saint-germain avec mes copains et copines. A 21 ans, j'abordais mes maîtrises alors qu'eux se trouvaient tout juste à la fin du service militaire.

    Il y aune chanson que Eyal Golan chante ici et qui a beaucoup de succès: am Israël lo yewatter, yesh lanou éhad gadol shomer otanou mi-kullam

    Oui, celui qui croit n'a peur de rien: mi shé maamin lo mefahéd

  • Israël, l'un des meilleurs pays où il fait bon vivre?

    Le classement d'Israël au 8e rang des pays où il fait bon vivre....

    Lu dans le célèbre magazine FORBES: Israël serait classé au 8e ou 9 er ang des pays où il fait bon vivre. Etla France, nous dit-on, ne figuerait qu'au 44e rang. Comment est ce possible? J'ai regardé les critères du classement qui ne m'ont guère conviancu. Surtout quand je vous que les Emirats Arabes Unis précèdent et La France et Israël.

    Je ne nie pas certaines qalités à Israël, le beau soleil, les belles plages, les loisirs, mais tout de même rien de comparable avec la France, pays de Cocagne et de bonheur. Que l'on me pardonne ce que j'écris, mais tout de même cela s'impose à mon esprit. Je souhaite du fond du coeur qu'Israël finisse par atteidnre réellement la place si convoitée dans le classement.

    Rien que l'état de guerre, si cruellement imposé à Israël par ses voisins, aurait dû impacter davantage le classement. Il y a aensuite le réel pouvoir d'achat des habitants. Ce n'est pas parce qu'il y a un boom économique que les habitants en proditent dans une égale mesure. Croyez moi, il y a hélas des réalités que j'ai pu observées et qui n'ont pas réjoui mon coeur, si l'on me passe cet habraïsme.

    Le gouvernement actuel a dû se résoudre à tailler dans les crédits sociaix et autres pour tenter de sauver la situation. Mais l'expansion économique était bien là au second trimestre. Espérons qu'elle ira en se renorçant.

    Alors souhaitons à Israël de figurer désormais en tête des pays où il fait bon vivre. Quant à la France, elle y est déjà, n'en déplaise à Forbes.

  • Le Monde: une fiction politique concernant Jacques Chirac...

    Le procès de Jacque Chirac, une ifction politique en feuilleton dans le journal Le Monde

    J'ai enfin reçu tous les exemplaires du Monde dont je n'avais pas effectué la lecture pour cause de vacances. J'ai pu les lires attentivement au bord de l'eau par une chaleur caniculaire. En plus des faits divers et des analyses plus sérieuses de ce journal, mon attention fut attirée par une sorte de feuilelton sur Jacques Chirac, comparaissant devant ses juges pour des affaires remontant à plus d'un quart de siècle. Le journal précise bien, dès la première page, qu'il s'agit d'une fiction politique. Il demeure que l'intention qui se tient derrière n'est pas ourlée de gentillesse ni de bonté à l'égard de l'ancien chef de l'Etat.

    J'ai tout lu mais je ne puis faire une analyse ligne à ligne ni reprendre toutes les idées (insinuations?) du journal qui préfère signer par un nom étrange, un collectif émaanant de plusieurs membres de la rédaction. J'ai quelques idées sur l'identité de ces plumes, assez bonnes, il faut bien le reconnaître.

    Les chroniques se constituent de moment et de personnages pris sur le vif. L'une des chroniques qui m'a le plus intrigué met en présence le chef de l'Etat et son plus proche collaborateur. Connaissant un peu le bureau de ce dernier, jai été frappé par la précision des descriptions du mobilier, l'aencement général et les postures de cet homme pour lequel je nourris une grande admiration et un prodond respect.Les échanges entre les deux hommes ont assez authentiques, me semble t-il.

    D'autres portaits sont nettement moins flatteurs. Je les passerai charitablement sous silence. Mais le clou n'est autre que le chef de l'Etat des précédentes années: d'une manière fictive, on lui reproche d'avoir dilapidé l'argent du contribuable parisien et, de ce fait, on lui réclame (fictivement) 4 millions d'Euros. Rien que ça...

    Jacques Chirace est croqué tel qu'il aime se donner et se présenter. Le verbe libre, le tutoirement facile, l'appétit solide, un amour irraisonné pour e la bière (je me souviens en 1995 l'avoir vu à table engloutir une corona, la bière mexicaine, en une fraction de seconde) un appétit insatiable pour la charcuterie etc.. Voyons le salon de l'agriculture...

    C'est en fait un procès qui n'aura pas lieu que le journal Le Monde instruit (fiuctivement) contre lancien magistrat suprême du pays. Je me demande si cela est convenavle. IL y a là de noires arrières pensées que je trouve déplacées. IL faut dire que c'est un billard à trois bandes. On met quelqu'un en joue mais c'est un autre que l'on cherche à atteindre.

    La politique est un jeu cruel car le pouvoir fascine et captive ceux qui l'exercent et ceux qui le scrutent. Mais scruter le pouvoir ne prépare pas nécessairement à l'exercer. Alors on se vnege avec sa plume. Mais ne serait-il pas plus humain de laisser en paix un homme âgé, un peu malade? N'est-il pas plus noble de s'occuper d'autre chose? Franchement, je me pose la question.