Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Vu de la place Victor-Hugo - Page 1118

  • ELISABETH BANDINTER ET SON NOUVEAU LIVRE : LE CONFLIT

    Dans ce nouvel ouvrage de Madame Badinter portant sur le même sujet qu'il y a de nombreuses années, ce qui me frappe le plus c'est le lancement de l'ouvrage à grand renfort de publicité ; des pages d'interview dans les journaux, des émissions de radio et de télévision, des publicité un partout, bref la grosse artillerie... Et il n'est pas si sûr que cela mérite un tel déploiement.

    De quoi s'agit-il ? L'auteur, poursuivant son idée depuis des années, considère que le traitement des femmes connaît une régression et insiste sur l'opposition mère / femme. Elle dénonce la mise sous condition des femmes auxquelles on rappelle sans cesse, selon l'auteur, que la maternité est un impératif, indissociable de la condition de femme. En somme, la mère prend sur le pas sur la femme.

     

    Lire la suite

  • PRIÈRE POUR DES HOMMES QUI MEURENT EN PRIÈRES

    PRIÈRE POUR DES HOMMES QUI MEURENT EN PRIÈRES

    L’effondrement du minaret d’une vieille mosquée datant du XVIIIe siècle à Marrakech suscite notre vive émotion, celle du simple croyant (même d’une autre confession) et celle du philosophe. Comment Dieu peut-il laisser mourir dans un lieu de culte ceux qui viennent glorifier son Nom et l’adorer ? Comment , pourrait-on dire, retire-t-il sa divine Providence là où des êtres, pleins de dévotion religieuse, attendent tout de lui ?

    Certes, les esprits forts rétorqueront que tout ce drame n’a de rapport qu’avec la résistance des matériaux et la vétusté de bâtiments qui n’ont pas été suffisamment bien entretenus. Ils nous opposeront aussi que le tremblement de terre d’Haïti a coûté à plus d’un quart de million d’êtres humains et que les fractures tectoniques ne sont pas du ressort de la Providence… C’est vrai aussi…

    Lire la suite

  • GEorges FRECHE encore et encore…

    GEorges FRECHE encore et encore…

    Mais que se passe-t-il donc au Parti Socialiste français ? On peut vraiment dire qu’une crise chasse l’autre… Depuis quelques jours, on se rend compte que Madame martine Aubry ne parvient pas à redresser la situation. La décision d’exclure le président socialiste Frèche et ses partisans était irréfléchie. Quand il y a un phénomène de masse, on va avec la masse, surtout lorsqu’il s’agit de politique et non pas de philosophie.

    Ce qui était totalement imprévu, c’est le sortie du Sénateur maire de Dijon et de quelques autres qui s’empressent d’aller soutenir le dissident.

    Disons un mot de ces opinions politiques. Je parle de l’ancien maire de Montpellier : il n’est ni antisémite ni poujadiste, c’est simplement un homme politique madré, ancien professeur de droit, doté d’une intelligence nettement supérieure à la moyenne des politiciens de province.

    La direction parisienne a investi une femme, maire de la ville, certes méritante car blancie sous le harnais absolument dépourvue de charisme et qui va, par son score mineure, ridiculiser encore un peu plus son parti.

    Bravo, Madame Aubry !

    Mais que se passe-t-il donc au Parti Socialiste français ? On peut vraiment dire qu’une crise chasse l’autre… Depuis quelques jours, on se rend compte que Madame martine Aubry ne parvient pas à redresser la situation. La décision d’exclure le président socialiste Frèche et ses partisans était irréfléchie. Quand il y a un phénomène de masse, on va avec la masse, surtout lorsqu’il s’agit de politique et non pas de philosophie.

    Ce qui était totalement imprévu, c’est le sortie du Sénateur maire de Dijon et de quelques autres qui s’empressent d’aller soutenir le dissident.

    Disons un mot de ces opinions politiques. Je parle de l’ancien maire de Montpellier : il n’est ni antisémite ni poujadiste, c’est simplement un homme politique madré, ancien professeur de droit, doté d’une intelligence nettement supérieure à la moyenne des politiciens de province.

    La direction parisienne a investi une femme, maire de la ville, certes méritante car blancie sous le harnais absolument dépourvue de charisme et qui va, par son score mineure, ridiculiser encore un peu plus son parti.

    Bravo, Madame Aubry !