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Vu de la place Victor-Hugo - Page 1129

  • Allez voir le film INVICTUS

    Allez voir le film INVICTUS

    Oui, ce film est absolument magique, divin. Je ne parle pas des présupposés idéologiques (la réconciliation entre Blancs et Noirs en Afrique du sud) car de cela on peut penser ce que l’on veut. Non, même s’il s’agit d’un objectif louable, je parle de la manière d’effectuer le tournage, de présenter Nelson Mandela avec une ressemblance incroyable avec l’acteur afro-américain Freemann. Quel jeu, quelle présence à l’écran. Jusque dans la manière de marcher, de sourire, de regarder…

    On y parle aussi du rôle joué par l’équipe nationale de rugby dans l’effort de réconciliation et d’unité nationale entre partisans de l’apartheid et militants de l’ANC de Nelson Mandela. Il y a assurément des poncifs à la mode, des yeux doux faits aux victimes d’hier, mais le film est beau et laisse une belle impression, une fois que les lumières s’allument pour quitter la salle de cinéma.

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  • Le cas d’Henri Proglio et l’esprit français

    Le cas d’Henri Proglio et l’esprit français

    Je ne puis m’empêcher d’en parler. Grâce à une presse vindicative et à un caractère français qui ne change guère, la terre entière connaît désormais le nom de Monsieur Proglio. Non pas tant pour ses qualités incomparables de chef d’entreprise, mais pour sa volonté (O combien blâmable aux yeux de certains) de garder deux emplois et donc un double salaire.

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  • le vieillissement de la population française…

    le vieillissement de la population française…

    Voici une préoccupation que l’Europe ne connaissait plus depuis des siècles en raison des guerres endémiques qui ravageaient le continent. On raconte même qu’au lendemain d’un désastre militaire, l’empereur Napoléon Bonaparte aurait dit : une nuit de Paris reconstituera tout cela (les morts de la bataille…) Ces temps là son révolus : inexorablement, la population vieillit et avec ce phénomène croît la dépendance. Au lendemain de la seconde guerre mondiale, après cette horrible saignée, l’espérance de vie dans le pays de Molière ne dépassait pas les 65 ans, avec un léger avantage aux dames. Six décennies plus tard, on approche des 85 ans ! Il faut s’en réjouir , mais il faut aussi multiplier la création de maisons de retraites, de repos, d’hospices de vieillards etc… et aussi d’hôpitaux de gériatrie

    Ceux qui ont eu la chance de garder des parents dans leur grand âge ont dû remarquer que le déclin arrive d’un coup, soudainement, sans crier gare, au point que nous autres, les enfants (même quinquagénaires) avons l’impression de devenir les parents de nos parents qui nous mirent au monde

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