CHARLES AZNAVOUR, UN EXEMPLE D’INTÉGRATION RÉUSSIE
Aujourd’hui, je ne vous parlerai pas des sans abris, des sans domiciles fixes, ni des trains qui déraillent (hélas entre Moscou et Saint Petersbourg : trente morts !) ni de la folie d’achats qui s’emparent de tous nos concitoyens à l’approche des fêtes de fin d’année. Non, je souhaite dire de la très belle interview accordée hier soir par le grand chanteur franco-arménien Charles Aznavour sur Antenne 2.
J’ai rarement vu pareille bonté et gratitude dans la voix et le regard d’un homme qui clame respectueusement sa reconnaissance à son pays d’adoption, la France. Et qui déclare urbi et orbi sa joie et sa fierté d’être français.
Vu de la place Victor-Hugo - Page 1147
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CHARLES AZNAVOUR, UN EXEMPLE D’INTÉGRATION RÉUSSIE
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LES ELECTIONS CONSISTORIALES DE DIMANCHE 29 NOVEMBR
LES ELECTIONS CONSISTORIALES DE DIMANCHE 29 NOVEMBRE
Institution d’origine napoléonienne qui a fêté récemment son bi-centenaire, le Consistoire de Paris est le plus important consistoire du Consistoire Central de France qui en compte un peu plus de 230 en France métropolitaine et à l’outre-mer.
En institutionnalisant la vie religieuse des citoyens français de religion juive, l’Empereur Napoléon entendait les intégrer pleinement à la Nation et réglementer aussi leur culte, faute de quoi ils n’auraient pas dépassé le stade que connaissent aujourd’hui les musulmans de France qui ne parviennent toujours pas à dépasser leurs querelles identitaires, entravant ainsi gravement la légitimité de leurs représentants… Les juifs firent jadis preuve d’une grande sagesse en suivant l’Empereur qui leur témoigna une grande mansuétude, sachant bien que leur ingéniosité exégétique proverbiale, aiguisée par un exil bi-millénaire, leur ferait trouver une place convenable dans le cadre des institutions de la France impériale. Et même au-delà… Il ne s’est pas trompé dans son calcul. Qui pourrait en toute légitimité parler au nom des juifs, en l’occurrence au plan religieux ? Car c’était bien de cela qu’il s’agissait du temps de Napoléon ; c’est le problème qui se pose encore de nos jours, bien que l’appartenance religieuse s’estompe dans le cadre de la République qui se veut avant tout laïque, tout en reconnaissant de manière absolue la liberté de conscience et de culte… -
Le cas gilad schalit…
Le cas gilad schalit…
Libéré, pas libéré ? Bientôt ou jamais ? Qui croire ? Un débat fait rage en Israël où les gens se demandent s’il convient de faire du cas Schalit une affaire de portée nationale : doit-on tout faire, tout consentir pour libérer un seul soldat ? Si oui, n’est ce pas un encouragement aux terroristes qui sauront pour la prochaine fois la recette à utiliser pour obtenir ce qu’ils veulent ?