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Vu de la place Victor-Hugo - Page 1243

  • Tout attendre du G 20 ?

    Tout attendre du G 20 ?

    Le président Sarkozy l’a dit et redit : la réunion du G 20 n’a pas droit à l’échec. L’économie mondiale attend et des décisions claires et énergiques devront être prises pour que cesse la crise et que l’économie mondiale reparte. Tout le monde, oui, le monde entier attend.
    Sans faire de catastrophisme, il faut bien reconnaître que chaque jour apporte son lot de licenciements, de fermetures d’usines, de dépôt de bilan d’entreprise, étranglées par l’absence de crédits ou simplement l’effondrement de la demande et de la consommation. Quand on regarde autour de soi, seule l’industrie des vacances, rem !de contre la déprime générale, marche encore. Heureusement, sinon que faire ?

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  • AlAIN JUPPE, Je ne mangerai plus de cerises en hiver… (Plon, 2009)

    AlAIN JUPPE, Je ne mangerai plus de cerises en hiver… (Plon, 2009)
    Tel est le titre évocateur que l’ancin premier ministre de Jacques Chirac a trouvé pour son livre-confessions, ou plutôt catharsis. Car c’en est une et elle est réussie. Frappée du sceau de l’autenthicité et en quelque sorte du repentir, de la confession des fautes et péchés commis, mais le ton est si sincère, l’ouverture du cœur si totale que le lecteur est conquis et dévore ce petit livre de la première à la dernière ligne.   Pour reprendre un dicton de la sagesse orientale : les paroles qui sortent du cœur touchent le cœur.

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  • L’IRAN, LES USA ET L’AFGHANISTAN

    L’IRAN, LES USA ET L’AFGHANISTAN
    C’est une excellente initiative et un très bon augure que de voir l’Iran accepter d’aider les Occidentaux à combattre le terrorisme, au moins en Afghanistan. Ce premier pas, qu’on espère suivi par d’autres dans la bonne direction, laisse-t-il augurer un changement dans la politique  de ce pays ? C’est ce qu’il faut espérer. En acceptant de participer à cette conférence aux côtés des USA qu’ils houspillaient depuis des décennies, les Iraniens (je veux dire leur direction politique) se sont probablement rendus compte qu’ils ne pourraient pas subir éternellement (sans graves dommages pour eux) les sanctions économiques et financières de l’ONU. Et les rodomontades du président actuel n’y changeront rien : même lorsqu’il affirme haut et fort que l’Iran n’a rien à craindre même d’un baril de brut à 1 $, personne ne peut ni ne veut le croire.

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