Les derniers développements en Israël concernant l’accomplissement des obligations religieuses juives, d’une part, et la nécessité de respecter à la lettre les règles du confinement et de la distanciation sociale, d’autre part, n’ont pas manqué de retenir toute mon attention.
J’ai donc découvert, à ma grande stupéfaction, que dans certains secteurs (pour ne pas dire sectes tout simplement) du judaïsme contemporain, certains fidèles, voire certaines autorités religieuses autoproclamées osaient dire publiquement que l’on devait continuer à vivre la pratique religieuse, sans le moindre changement, ni la moindre modification, comme si de rien n’était, comme si les temps que nous vivons étaient l’ordinaire et la routine.