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Vu de la place Victor-Hugo - Page 354

  • Obama la science, donneur de leçon?

    Obama donneur de leçon?

    Je me rends compte que certains ne se sont pas remis de la cuisante défaite de leur candidate, qu'ils n'ont pas vraiment saisi la nature de l'enjeu. Je le dis avec respect mais sans détour cat cela ne sert à rien de nier l'évidence.

    On vite une ère nouvelle, chargée, il est vrai, d'incertitude et même, par certains aspects, inquiétante. Mais on récolte les fruits de ce qu'on a semé duant des décennies. Le peuple ne comprend plus les élites qui le dirigent, le peuple ne veut plus qu'on lui impose le politiquement correct, le peuple ne veut plus qu'on lui fasse honte ou des remontrances lorsqu'il dit qu'il y a trop de ceci, trop de cela, etc... Moi aussi, cela m'inquiète, mais peut on dissoudre le peuple? Doit on lui expliquer qu'il se trompe lorsqu'il demande moins d'étrangers, plus de sécurité, plus d'emploi, moins de déficits dus à des populations qui n'n'ont pas la même culture ni les mêmes moeurs?

    Je me suis toujours demandé comment Eric Zemmour avait pu se tailler la part du lion dans le paysage journalistique et même politique. Je me demande encore comment un demi savant, un simple commentateur a pu vendre autant de livres! Eh bien, je me suis rendu qu'il était en prise directe sur le peuple et que nous, les soi disant élites, étions à côté de la plaque. Cela ne veut pas dire que je vais changer de discours, cela signifie simplement que les gens simples n'en peuvent plus.

    J'ai entendu des directrices d'écoles primaires dans certains départements de la région Paris ùile de France, reconnaître qu'il y a des classes où figurent plus de vingt nationalités. Ces mêmes personnes recommandaient à leurs amis de scolariser leurs enfants dans le privé...

    On marche sur la tête: transposez cela aux USA et vous comprendrez pourquoi Donald Trump l'a emporté. Evidemment, certains ne manqueront pas de remplacer les arguments par des invectives. Et cela ne changera rien à la situation. Donald TRump a été élu et l'actuel président finissant a été moralement récusé.

    Il peut compter sur toute notre compassion.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

  • Les attentes israéleinnes depuis l'élection de Donald Trump

    Les attentes israéliennes depuis l'élection de Trump

    Ici, en Israël, l'attente est teintée d'un léger optimisme mais la joie est grande de voir la défait plus d'Obama que de Clinton. Le pouvoir israélien actuel se réjouit de coopérer avec les Republicains, n'ayant plus rien à attendre des Démocrates. Obama aurait dû en finir au plus vite avec l'Etat Islamique; il a fait tout le contraire, envoyent des forces spéciales à dose homéopathiques au lieu de rapper un grand coup. POur sauver les apparences il s'est livré à des bombradements massifs que l'EI ne redoutait plus du tout.

    Enfin, Israël sair que D. Trump n'avalisera pas le traité avec l'Iran sous sa forme actuelle. Faut il s'en lamenter? Non point, car le nouvel homme fort des USA veut être sûr de faire passer aux Mollahs l'enie de produire la bombe atomique. Il connait la vraie nature d'un tel régime, ce que Obama feignait d'ignorer.

    Toutes ces choses ont fini par s'accumuler et donner les résultats que l'on sait. Il y eut l'arrogance des démocrates et de Me Clinton, toutes ces choses, sans oublier l'attitude hyper négative de la presse. Il faut bien se rendre compte qu'une certaine presse, adossées à des élites, ou prétendues telles, a confisqué l pouvoir dictant aux petites gens que nous sommes ce qu'on doit faire, pour qui on doit voter etc.. Faute de quoi, on nous culpabiliser, on nous transformait en extrémistes, etc.. Eh bien, contre toute attente, l'élection de Trump a renversé  ce choix, rendant la parole au petit peuple.

    Je répète qu'en ce qui me concerne qu'au acun candidat ne me convenait. Mais je respecte l'heureux élu et téloigne ma compassion à la perdante en espérant qu'elle finira par se départir de son arrogance et  du sentiment de sa propre supériorité.

  • B Obama, de la tournée triomphale au faire part de deuil?

    Obama pensait sincèrement pouvoir se retirer les mains dans la poche, ayant installé Me Clintin bien au chaud à la Maison Blanche. Et c'est dans cet esprit qu'il avait imaginé cette mise en scène d'une tournée triomphale en Europe. Une sorte de couronnement de son action alors que son bilan en matière de politique étrangère est bien mince. Et le voila contraint de se livrer à une sorte d'explication post mortem des élections dans son pays. Ce n'est que justice: jamais président US n'a autant attaqué, voire diffamé un candidats que le peuple a fini par désigner comme son successeur. Si M. Obama avait une haute idée de ses fonctions finissantes, il aurait dû tranquillement annulé ce voyage qui ne sert à rien et qui coûte de l'argent au contribuable américain. Mais voila, le plaisir est trop grand et bientôt il ne disposera plus de rien, ni du budget, ni des honneurs. Avec, en prime, le lourd ardeau de la défaite, une défaite timbée du ciel, comme un couperet.

    Le ton de cet éditorial n'est pas exagéré car tout de même, le futur ancien président et son épouse sont allés bien au-dela du permis. Surtout, l'épouse qui se voyait la future seconde présidente des USA. Quelle vaité, mais quelle vanité! Cela s'appelle perdre le sens des réalités. Déjà Obama a été un président par défaut, les USA ont voté contre Georges W. Bush et pas pour cet homme qui a tant tergiversé en Syrie et en Irak.

    Aujourd'hui, dans la patrie de Platon et d'Aristote, il se livre à des considérations désabusées sur le sens de l'histoire, l'essence du pouvoir, l'avenir de l'humanité.

    Le voila alors recasé: il pourra faire des conférences et observer de loin, comme Gulliver à Lilliput les actions audacieuses et louables de son successeur.

    Répétons le: il faisait peine à voir, le teint presque blafard, le verbe non assuré. Les hommes politique ne sentent jamais le tomber de rideau. C'est triste. Mais c'est ainsi.