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Vu de la place Victor-Hugo - Page 454

  • Les écoutes de la NSA: beaucoup de bruit pour pas grand chose

    Les écoute de la NSA, much ado about nothing

    C'est l'actuel député des Républicains, l'ancien juge d'instruction Marsaud, qui a fait la meilleure déclaration au sujet des écoutes des USA en plein Paris: c'est l'écume de la presse, le tintamarre médiatique d'un journaliste pour promouvoir son journal Médiapart qui soulève toute cette tempête: tout le monde écoute tout le monde, et même si on est alliés, on n'en conserve pas moins des intérêts nationaux. Lesquels ne concordent jamais avec ceux des autres.

    Pourquoi faire de tout cela ds gorges chaudes? Tout le monde écoute tout le monde. Les Israéliens sont même parvenus à écouter Obama. Les USA écoutent leurs partenaires commerciaux à la veille de toute conférence économique ou financière.

    En fait la presse n'est plus un contre pouvoir, c'est un pouvoir qui oébit à des intérêts particuliers. Il fallait voir tous ces journalistes redire la même chose sur toutes les chaines pour s'en convaincre.

  • La Grèce de Tsipras ne peut plus rester dans la zone Euro

    La Grèce de Tsipras ne peu plus rester au sein de la  zone euro…

    Le seul homme politique français à avoir fait preuve de lucidité dans cette affaire grecque n’est autre que le secrétaire général d’un tout petit parti de droite, allié des Républicains, M. Lagarde. Il a reconnu hier sur France Info que la Grèce ne pourra jamais rembourser les 320 milliards de dettes que les gouvernements de ce pays ont contractés et que tentative ou tout acharnement en vue de maintenir ce pays dans la monnaie européenne était condamnée à l’échec.

    Tous le savent mais peu s’aventurent à le dire. La Grèce doit payer pour tous ses mensonges, ses falsifications et ses manquements. Visiblement, l’Europe et le FMI ne peuvent plus céder car Tsipras en profiterait pour établir son gouvernement pour longtemps, détruisant jusqu’au bout tout espoir de rétablissement de celui-ci. Visiblement, ce jouer de poker place son appétit de pouvoir au-dessus du bien général.

    On n’imagine pas l’état de la Grèce quand on est citoyen d’un pays européen civilisé : pas de cadastre, pas de grille de salaires des fonctionnaires, pas de prélèvement normal de l’impôt, pas vraiment de justice d’Etat, bref rien de ce qui caractérise un état moderne. Même les Turcs qui n’ont jamais été le berceau de la civilisation, font mieux. Et ils sont loin de faire partie de l’Europe.

    On pourrait bien rejeter loin de l’Europe ce pays en ruines et en désespérance. Il faut le chasser de la zone Euro et établir une sorte de correspondance entre la drachme et l’Euro afin que ses habitants ne soient pas tous condamnés à la mendicité.

    Il faut montrer à l’actuel Premier Ministre Tsipras qu’on n’a pas peur de la défection de la Grèce. Il vaut mieux supprimer cette branche de l’arbre européen plutôt que de renoncer à l’équilibre général.

  • L'erreur à ne pas commettree: garder la Grèce de Tsipras au sein de la zone Euro

    Ne pas garder la Grèce dans la zone Euro.

    Tous les observateurs impartiaux savent que la Grèce ne pourra jamais rembourser sa dette qui se monte à près de deux cents milliards d'Euro. Il faudraitque la dixième génération accepte de continuer de rembourser les bailleurs de fonds. Or, cela ne se fera pas.

    La meilleure façon d'assainir la situation en Grèce est de refuser d'aider l'actuel gouvernement qui a menti pour accéder au pouvoir, le laisser choir et permettre à d'autres forces politiques d'émerger afin de faire de vraies réformes et non de se maoquer du monde, comme le font Tsipras et son équipe.

    Heureusement que Madame Merkel est là, rejointe par Madame Lagarde: deux femmes qui parlent haut et clair et refusent l'inacceptable.

    Les plus couards parmi les dirigeants européens se réjouissent déjà des maigres progrès proposés par le gouvernement grec actuel. Mais l'essentiel demeure inchangé: Tsipras et ses amis préfèrent mentir aux créanciers plutôt que d'affronter la réalité, tout en conservant le pouvoir. Or, ces gens ne pourroe pourront jamais honorer leurs engagements. Et ce sera autant d'occasions manquées pour le peuple grec, ce peuple qui a préféré les sirènes du délir au dur ton de la réalité.