POUR OU CONTRE LES ETHYLOTESTS ?
Je viens d’entendre qu’une boîte de nuit, un night club, si vous préférez, expérimente la remise de ces éthylotests aux danseurs qui boivent une quantité d’alcool et qui pourraient, après cela, rentrer chez eux en voiture. Ils représentent alors un danger pour eux mêmes et pour les autres.
La société étant ce qu’elle est, et ce depuis fort longtemps, on ne peut que se poser des questions, sans chercher à réformer le groupe soicla.
Mais pourquoi certains éprouvent ils le besoin à boire à ce point ? Est ce pour lever les inhibitions ? Pour se sentir mieux ? Pour se dépasser ? Pour braver les interdits ? Ou tout simplement pour crier leur malaise existentiel à la face du monde ?
J’avoue ne pas trouver de réponse satisfaisante mais je trouve, en revanche, qu’il est bon de renseigner les gens sur leur d’imprégnation éthylique avant de conduire une voiture.
Vu de la place Victor-Hugo - Page 874
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POUR OU CONTRE LES ETHYLOTESTS ?
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D’où nous vient le Shofar ?
La fête de Rosh ha-Shana s'achève. Dans moins d'une semain, ce sera yom kippour et le shofar y joue un grand rôle. Voici un article que je fis paraître dans le Dictionnaire critique de l'ésotérisme.
D’où nous vient le Shofar ?
De tous les instruments de musique, à corde, à vent et à percussion seul le shofar a suivi le peuple juif dans son exil. On ne se sert plus de cette corne de bélier qu'à deux occasions dans le judaïsme, à savoir le jour du nouvel an (Rosh ha-Shana) et le jour des propitiations (Yom Kippour). D'où peut bien provenir cette tradition et comment s'expliquer les interprétations mystiques et ésotériques qu'elle a reçues au cours des âges?
Au fond, la Bible ne précise nulle part les règles afférentes au shofar; c'est le talmud -surtout dans le traité de Rosh ha-Shana 16a-b- qui s'en charge. Les théories qui cherchèrent à en rendre compte varient selon que l'on est rationaliste, éclairé ou franchement mystique; on peut retenir grosso modo deux idées: la sonnerie du shofar cherche à attirer l'attention de Dieu, voire même à le réveiller et à lui rappeler que sa miséricorde doit prendre le pas sur sa rigueur; ou bien elle sert à chasser les forces maléfiques, singulièrement Satan qui prend peur lorsqu'il perçoit ces sons précis et abandonne alors toutes les accusations qu'il entendait porter contre Israël. -
Aider la Grèce est une erreur..
Aider la Grèce est une erreur..
Peut-être avez vous été surpris de voir que le premier ministre Georges Papaandréou a été reçu à Berlin à l’invitation du patronat allemand. En effet, on se serait attendu à ce que ce fût le gouvernement allemand en soi qui invitât ce dirigeant grec. Mais ce n’est pas tout : nous avons tous été étonnés de voir que le Bundestag a soutenu massivement le plan d’aide à la Grèce alors que la majorité de l’électorat allemand refuse de payer pour les Grecs. Comment s’explique cette divergence entre le peuple allemand et les dirigeants du patronat et de l’économie ?
C’est tout simple : l’économie grecque fait office de sous traitante de l’économie allemand qui y dispose de relais efficaces, de main d’œuvre bon marché et docile. CQFD. On se demande alors qui dirige en Allemagne et en Europe ? Les élus du peuples ou les patrons de la finance ?
En écoutant l’allocution du président de la République Nicolas Sarkozy j’ai relevé qu’il avait nettement distingué entre deux types de solidarité au sujet de la Grèce : solidarité morale, d’une part, et solidarité économique, d’autre part. Ce qui signifie qu’il y a dans le soutien à la Grèce des arrière-pensées économiques qui sont légitimes : si la Grèce s’effondre, c’est tout un pan de l’économie allemande qui la suivra, en raison des bouleversements que cette crise entraînerait.
Avec tout le respect pour Me MERKEL et pour M. SARKOZY, je pense que c’est une erreur, il faut faire partir la Grèce de la zone Euro. Si on continue de les aider, les Grecs ne feront aucun effort. Comment voulez vous éviter la paupérisation d’un Etat si ses citoyens n’acquittent pas l’impôt ? On va avoir affaire à un puits sans fond. Nos banques, toutes les banques, vont devoir provisionner leurs créances sur la Grèce qui ne pourra jamais rembourser 350 milliards d’Euros. C’est de la folie. En revanche, nous devons faire preuve d’un peu de mansuétude et prêter à ce pays à un taux très bas.
Rendez vous compte ? Nous en sommes réduits à envoyer des inspecteurs dans ce pays pour superviser la mise à exécution des mesures prises. Mais les Grecs n’accepteront jamais cette limitation de leur souveraineté.
Tôt ou tard, ils devront sortir de la zone Euro. Ou alors jouer à l’Euro-million…