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Vu de la place Victor-Hugo - Page 449

  • Le bain de sang évité sur le Thalys: quels enseignements en tirer?

    La fusillade du Thalys, que devons nous en tirer comme enseignements?

    L'Europe judéo-chrétienne avec ses notions d'habeas corpus, d'Etat de droit, de présomption d'innocence et des droits de l'homme n'a pas encore pris conscience de cet état de guerre qui l'oppose à la culture de la barbarie. Elle échafaude des plans alors que des vies humaines sont en perpétuel danger: d'après un commentateur averti de la chose, le terroriste islamiste aurait pu faire des dizaines, voire des centaines de victimes dans ce train. C'est la divine Providence ou un bienheureux hasard qui a sauvé ces passagers et aussi ces magnifiques Marines de l'US Army qui ont eu le courage de se défendre et de maîtriser cet homme venu semer la mort et la destrcution dans un paisble train ...

    Donc, l'Europe doit s'adapter et elle a pris beaucoup de retard. Il faut proétger les gares comme on protège les aéroports et surtout il faut prendre des mesures en adéquation avec un état de guerre asymétrique. Je sais que le mot est galvaudé mais il existe des experts militaires qui savent exactement comment faire.

    Le tout est de les écouter et de leur fournir les moyens demandés. Quand on voit que certaines autorités font preuve d'une extrême prudence au sujet de la qualiifcation de ce crime, on se demande sur quelle planète on vit.

  • La démission d'Alexis Tsypras

    La démission du Premier Ministre grec

    Ce pas franchi par M. Tsypras était prévisible. Voici un homme qui se fait élire contre le programme de ces deux ou trois prédécesseurs et qui finit par accepter un troisième plan d’aide dont il avait farouchement combattu l’idée durant sa campagne électorale. Que va-t-il se passer désormais ?

    Tsypras risque de sortir renforcé de cette crise. C’est bien pour l’Europe et pour l’Euro qui remonte depuis que les marchés ont observé une petite amélioration de la situation en Grèce. Mais ce serait dommage que les partis de droite ne prennent pas l’ascendant pour rejeter enfin Tsypras et son parti dans les oubliettes de l’Histoire.

    Mais la situation peut se révéler très surprenante : au fond, dans ce pays à l’abandon qui va à vau l’eau depuis des décennies, Tsypras pourrait se révéler être l’homme de la situation. Les élections pourraient lui donner une meilleure assise parlementaire et il pourrait jouir d’uns stabilité qui lui permettrait de mener à bien toutes les mesures imposées par l’Union Européenne.

    Ce ne serait pas la première fois qu’un homme politique, enfin parvenu aux responsabilisés, changerait totalement de cap, car il se rend compte que les faits sont têtus.

    Reste toutefois le problème de la mentalité grecque, de ces gens qui ont appris à ne pas payer d’impôts, à ne jamais tenir parole et à tenter de vivre largement aux crochets des autres. Ce n’est pas une vérité bonne à dire, mais bien ainsi que l’on voit la situation.

    Il faut espérer que l’on tirera les enseignements qui s’imposent de cette crise grecque : ne plus accueillir dans la zone Euro des pays qui n’en ont pas encore les capacités.

  • User A. Tsypras, le laisser faire le job et le renvoyer

    User  Alexis Tsypras jusqu’à la corde et le renvoyer après qu’il a fait le job !

    Il arrive parfois qu’une main invisible tire les ficelles dans les coulisses dérobées au regard des hommes. Il arrive parfois que des événements inattendus se produisent, mus par une Providence quasi divine, sans qu’on s’en aperçoive vraiment. On peut appliquer ce schéma à la situation de la Grèce depuis ces cinq dernières années. Un pays qui fut le berceau culturel de l’Europe, une civilisation qui nous a donné le meilleur et qui, depuis moins d’une décennie, nous donne le pire. La grèce de Tsypras n’a rien à voir, mais absolument rien à voir avec celle de Platon. Ce dernier, ainsi que son disciple Aristote, jusques et y compris leur grand maître Socrate, doivent tous se retourner dans leur tombe s’ils ont vent de qui dirige leur pays natal et comment le diadème intellectuel du vieux continent est devenu pire qu’un cache misère.

    Je parlais de dessin divin ou d’actes providentiels pour la raison suivante que je vais exposer, mais je peux me tromper : moult gouvernements de droite, proches des cercles bruxellois ont tenté, sans succès, d’appliquer une politique de rigueur. Et ont échoué, ce qui explique qu’on en soit au troisième plan d’aide à ce pays naufragé qui vit, toute honte bue, aux crochet de l’Europe. Et qui en tire un sentiment de véritable orgaueil national.

    Donc les diverses droites échouent, et voila qu’un parti d’extrême gauche, dirigé par des gens étranges arrive au pouvoir, élu sur un programme dont il applique aujourd’hui le contraire de tout ce qu’il avait promis afin d’appa^ter les Grecs et capter leurs suffrages.

    Installés au pouvoir, Tsypras et ses amis découvrent qu’ils ont entraîné le pays dans une impasse. Second acte : l’étrange ministre des finances grec veut faire du chantage à l’Europe et là, deux dames defer se dressent sur sa route : M.M. Merkel et Lagarde. Bref Tsypras ne doit sa survie politique qu’à l’intervention assez inattendue de François Hollande.

    Elles furent rejointes par un vieux routier de la politique, M. Junker qui explique posément au Grec qu’ tout est prévu dans les moindres détails, même si les Grecs faisaient un chantage à la sortie de la zone Euroe. Ce fut l’argument massue, un véritable coup de massue sur la t$ete de Tsypras qui comprend enfin que l’Europe en a et qu’elle est dirigée par des hommes et non par des mauviettes.

    C’est alors qu’il accepte tout ce qu’il refusait avant contre la promesse de recevoir quelles miettes lui permettant de joindre les deux bouts.

    Mais voila Tsypras n’est pas eul et les défections dans son parti vont croissant.

    Voici la morale de l’histoire : Il va arriver à Tsypras ce qui arrive dans les tragédies grecques (c’en est une grandeur nature) : il sauve la situation au prix de sa vie. Dans ce cas précis, il ne s’agit que de sa vie politique, heureusement.

    Mais des élections anticipées deviennent une nécessité urgente, vers l’automne, la Grèce aura un autre gouvernement ; la Grèce sera dirigée par une coalition de droite appliquant les mesures de Bruxelles. Syrisa sera laminée et divisée de l’intérieur. Mais Tsypras n’en sera plus le chef. Que deviendra t il ? Peut être que son mai V. Poutine lui proposera un poste dans une contrée oubliée de l’ancienne Russie.