Dernier dîner à MAdrid
Quelle ambiance, quelle animation! Tant de gens debout sur le trottoir du restuarant, une coupe de chamlpagne à la main. Nous ne tardons pas à les imiter. Je me rends compte qu'il est plus de 22 heures. A Paris et à Genève, on dîne bien plus tôt.
Au moment où nous nous préparons à rentrer à l'hôtel, distant de quatre mètres, une foule de tout jeunes gens arrive pour boire et manger.
Ce qui frappe le plus, c'est la douceur de la nuit. MAis tout de même les Espagnols parlent fort. C'est presque assouridssant. Mais c'est l'Espagne.
Quand je pense que si Isabelle la catholique n'avait pas expulsé mes lointains ancêtres de cette péninsule, c'est peut-être la langue française que j'aurais eu à apprendre.
Le sort des individus tient à si peu de choses...