Le merveilleux petit déjeuner de l'Atrio à Caceres
Même à la Réserve de Genève, ni même aux Armures dans la même ville, je n'ai droit à un si délicieux petit déjeuner. Pour une fois, nous avons la bonne idée de descendre au salon sans se faire porter le petit déjeuner en chambre.
Nous fumes reçus dans magnifique pièce, celle là même où se tient le restaurant muni de deux étoiles au Michelin, pour être servi par une femme magnifiquement stylée, tout sourires et absolument disponible. Un jus d'orange fraîchement pressé, une salade de fruits presque exotiques, ensuite une crème un peu comme du mascarpone, puis un petit sandwich de fromage de brebis ou de chèvre, affiné, puis enfin un délicieux café expresso, accompagne des viennoiseries habituelles dans lesquelles se trouvait du pain grillé de mon enfance. Mais bien plus encore: il y avait deux pots de confiture maison, à la figue et à l'orange non sucrée.. Encore un rappel de mon enfance.
Cet endroit est magique, la responsable de l'établissement est une dame très raffinée, très dévouée qui gagne à être connue, tout comme son hôtel.
Après un tel festin matinal, vous devenez un authentique espagnol: vous déjeunez vers 15 heures après avoir découvert toustes les aprties de la vieille ville, églises après églises, palais après palais, et toujours des gens très accueillants et très souriants: on est loin des titis parisiens et des portestants sérieux de Genève. Sur ces usperbes places de Caceres, vous avez de sympathiques cafées et bars où l'on sert des tapas àvolontiers et de la très bonne bière. C'est merveilleux.
Mais il y a autre chose qui a tant plu à Danielle: les cigognes! Eh oui, il fait si douc dans cette cité que les cigognes y ont élu domicile. A quoi servent les flèches ou les clochers des égloses? Eh bien aux nids des cigognes.
Chemin faisant, je découvre des quartiers de la vieille ville où étaient parqués les juifs au cours de longue période médiévale. Nous visitons une toute petite église qui fut, avant 1492, une petite synagogue. Nous la visitons et je réalise qu'on gardé la galerie des dames! Etonnant car dans les églises, femmes et hommes siègent côte à côte. Je parours le musée juif voisin et je vois que l'Espagne de leurs catholiques majestés n'avaient pas honte de chasser des gens de chez eux et de transformer leurs lieux de culte en églises. Evidemment, je n'en veux à personne et je dirai même que j'iame ce pays car ma mère en n est une lointaine descendante: elle s'appelait Gracia El Mosnino (ZaL) et je me suis rendu compte que plus d'un demi millénaire après l'expulsion, elle utilsait ainsi que sa mère (ZaL) des termes espagnols dans leur parler juif : suerte, banios, fazuelos, taverna, pastels... Et moi, sonf ils, qui ne sait pas un mot d'espagnol alors quela langue et la philosophie allemandes n'ont pas de secret pour moi..
Mais je voudrais vous livrer un petit fait que j'ai vécu hier soir: nous promenant dans les venelles de la vieille ville, nous trouvons une belle église dans laquelle nous entrons. Deux Messieurs devisant près de l'entrée, nous aluent. En la visitant, je passe devant un tron où machinalement, je glisse (excatement) deux pièces de 0,50 centimes d'Euros. Et puis on se prépare à sortir. L'un des deux messieurs me parle en espagnol en espagnol, je ne comprends pas un mot. Mickaël me traduit: Monsieur, avec les deux pièces que vous avez glissées dans le droit, voius avez le droit de brûler un cierge!!
Brûler un cierge dans une église, Ah si ma pauvre mère savait cela. Je remercie poliment et m'éclipse poliment, non sans avoir ressentiment une vive émotion.
Tous ceux qui me lisent savnt quelle est ma confession mais ils savent aussi tout le bien que je pense du christianisme, en dépit des persécution médiévales. Mais ce fut pour un moi un fait marquant, en allemand ein Erlebnis.
Mais l'Atrio vous fait oublier tout cela, même si le passage au Musée juif m'a montré que, jadis, dans ce pays magnifique, des hommes et des femmes de la même confession que moi furent sauvagement jetés dehors.
Peut-être aurais- je dû malgré tout cela brûler un cierge dans cette belle église.
Juste pour dire que je n'en veux à personne, même si dans la même région a vécu le grande Moïse de Léon, l'auteur de la partie principale du Zohar et tant d'autres kabbalistes et grands philosophes juifs. Rien quà Tolède vivaient plus de 12000 juifs.