PAR QUOI S’EXPLIQUE LE SUCCES ELECTORAL DE MARINE LE PEN AUX ELECTIONS CANTONALES ?
Cette fois ci, l’effet Marine est incontestable, son père a beau tenté de dire qu’il a lui, préparé le terrain et semé les graines du succès : c’est bien la fille qui a damé le pion au père. Et c’est bien là le problème. Avec plus de 15% au premier tour des élections, marquées par une abstention record, le FN confirme ce que les sondages du début annonçaient : une radicalisation de l’électorat français, surtout dans les régions om il y a beaucoup d’immigrés : le Var, le sud ouest, les bouches du Rhône, Marseille etc…
Ce qui frappe, c’est le comportement de la population française qui se sent menacée par l’islam et rend les Arabes responsables de tout ce qui ne va pas en France, de toutes les difficultés que l’on rencontre dans la vie de tous les jours.
Est-ce juste ? Non point.
Mais les partisans du Front National se réjouissent aujourd’hui d’un élément nouveau : le vote qui se porte sur eux ne serait plus de protestation mais d’adhésion. Si un tel constat était avéré, il y aura tout lieu de s’inquiéter. Mais interrogeons nous sur ce malaise de la société française qui doute d’elle même et se méfie de tout.
Il y a en tout premier lieu une poussée de l’aile extrémiste de l’islam dont l’attitude agressive et invasive inquiète les gens. Tant de Français tentent de quitter les villes de Seine Saint Denis en raison d’une surreprésentation de populations non françaises dont les modes vestimentaires et la mentalité en générale suscitent l’étonnement, pour ne pas dire l’hostilité.
Il y a aussi la criminalité et la délinquance, les trafics en tout genre que le Français moyen associe à ces gens. Et pour finir, il y a cette pratique religieuse qui inquiète par ses excès, c’est ce que le pouvoir tente de désamorcer par ce fameux débat sur la laïcité…
Comment faire pour nous sortir de cette mauvaise passe ? Les esprits les plus objectifs et les plus démocrates préconisent une double solution : stopper net toute immigration, pendant quelques années au moins, et renforcer les tentatives d’intégration. Les Français ne veulent plus de signes ostentatoires religieux dans les rues, les places publiques (la dernière fois on m’a dit que des gens faisaient la prière sur des tapis en bordure de l’autoroute du sud…)
Nous devons demander aux autorités musulmanes de mettre un peu d’ordre et de raisonner leurs coreligionnaires. C’est l ’unique solution et la dernière chance.
Car dans un pays démocratique comme la France on peut ignoer sauf la volonté du peuple. On peut tout dissoudre, sauf le peuple, organse souverain suprême d’où tout pouvoir tire sa force.
L’islam doit devenir une religion comme toutes les autres. Ce n’est
Vu de la place Victor-Hugo - Page 963
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PAR QUOI S’EXPLIQUE LE SUCCES ELECTORAL DE MARINE LE PEN AUX ELECTIONS CANTONALES ?
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AUJOURD’HUI, PREMIER JOUR DE FRAPPE CONTRE LA LIBUE, C’EST POURIM
AUJOURD’HUI, PREMIER JOUR DE FRAPPE CONTRE LA LIBUE, C’EST POURIM
Depuis hier soir et encore ce matin même, les juifs religieux ou simplement traditionalistes, fêtent Pourim, terme originellement persan qui signifie le tirage au sort, le destin. Etant entendu que la thèse théologique du rouleau d’Esther (Meguillat Esther) est que seul Dieu est capable d’inverser la tendance, de rabaisser les puissants et d’exalter les pauvres et les petits…
Ce rouleau qui prétend mettre en scène des gens, en l’occurrence Mardochée, qui seraient les descendants des exilés par Nabuchodonosor (_-586), est, avec hanoukka, la seule fête non prévue par la Bible mais décrétée par les rabbins.
De quoi s’agit-il ? Il s’agit d’exposer le mécanisme interne de tout antisémitisme, ancien ou moderne : un tyran ou un être malfaisant, rongé d’ambition et travaillé par tout ce qui ne se soumet pas, décide d’exterminer tous les juifs d’un vaste royaume, celui d’Assuérus qui contrôle plus de 129 provinces qui ont toutes des langues et des écritures différentes.
Cette belle histoire qui a des aspects légendaires, est remarquablement bien construite et trahit un auteur dominant souverainement l’art dramatique : tout commence par un fait divers, le reine refuse d’obtempérer à l’ordre du roi, son époux, qui lui commande de s’exhiber devant une foule d’invités, censés admirer son incroyable beauté. Offusqué, le roi décide de la destituer et de la remplacer par une autre femme, plus belle et plus jeune. Ce sera Esther, jeune fille juive, nièce de Mardochée : on noter que ces derniers prénoms n’ont pas de consonance juive mais bien persane.
Mardochée rôde devant le palais royal pour avoir des nouvelles de sa nièce mais le premier ministre Haman s’offusque en voyant que l’homme juif ne lui rend pas l’hommage requis ; il décide de s’en prendre non point à Mardochée seul mais à tout son peuple. Une sorte de solution finale avant la lettre…
Encouragé par la faveur du roi, Haman lui propose d’exterminer un peuple dispersé par ses autres sujets qet qui refuse de se conformer à ses lois. Assuérus, véritable roi fainéant, donne son accord… Mardoché l’apprend et proclame un deuil général. Il le fait savoir à la reine Esther qui doit faire auprès du roi, son époux, une tentative de la dernière chance. Habile manœuvrière ou fine guêpe, elle organise un festin auquel elle convie le roi et Haman. Soucieux de complaire à sa favorite, le roi lui demande ce qu’elle veut. Esther dit avec émotion qu’un être malfaisant, présent dans cette pièce, envisage d’annihiler tout son peuple. Outré, le roi sort prendre une bouffée d’air et en revenant dans la salle du festin trouve Haman aux pieds de la reine, priant d’avoir la vie sauve… Le roi est outré et croit que son Premier Ministre tentait d’abuser de la reine. Il exige une punition des plus sévères et du coup, la potence que Haman avait préparé pour pendre Mardochée va servir pour sa propre mise à mort
On le voit, le point théologique du rouleau est le suivant : Dieu, à la toute dernière minutes sauve son peuple en renversant la situation : au lieu d’être exterminés, les juifs viendront à bout de leurs ennemis. Haman qui souhaitait pendre Mardochée sera pendu par lui, de même que ses fils. Et tout cela, grâce aux prières et aux jeûnes des juifs, adressés à leur Dieu, le seul maître de l’histoire dont il fit dévier le cours au moment où tout semblait compromis…
S’ensuit alors un immnese festin, le mishtéh de Poruim au cours desquels les gens s’invitent les uns les autres, s’envoient des friandises et aident les pauvres…
Et la leçon théologique majeure est que le bien finit toujours par triompher et les méchants détruits. Mais toute ressemblance avec les événements de Libye ne serait que le résultat de la coïncidence la plus fortuite
Pourim saméh ! -
NICOLAS SARKOZY, CHEF DE GUERRE
NICOLAS SARKOZY, CHEF DE GUERRE
Chaque jour qui passe le confirme : c’est le président de la République qui a pris la tête politique et militaire de la coalition qui est mandatée par le Conseil de sécurité de l’ONU pour protéger les opposants à Kaddafi et venir à bout du régime libyen. On a vraiment changé d’époque et de mœurs : désormais, aucun tyran, si déterminé soit-il, ne peut massacrer son peuple impunément. Quand j’entends que Ban Kimoun a téléphoné au roi de Bahrein pour le mettre en garde au cas om il se ferait le boucher de son peuple, je n’en crois pas mes oreilles ! Débarrasser la terre de ses tyrans et de ses dictateurs, qui concentrent majoritairement dans le monde arabe, voilà un objectif que l’ONU aurait dû s’assigner depuis fort longtemps. Mais il n’est jamais trop tard pour bien faire.
Au moment où je rédige, les télévisions annoncent que les bombardements se poursuivent à un rythme accéléré sur la capitale libyenne, visant des cibles militaires et aussi le bunker du colonel Kaddafi. En dépit de ses rodomontades, aucun pays arabo-musulman ne prend parti pour lui, tous attendent en silence la chute de son régime… De là omù je me trouve, je n’ai pas accès aux télévisions arabes d’Al-djazira et d’Al-Arabiya, mais je doute fort qu’elles le soutiennent.
Au risque de passer pour un indécrottable optimiste, je maintiens quec e réveil du monde arabe marquera aussi une renaissance, une meilleure appréciation des réalités, un plus grand discernement dans la perception même de leur essence profonde. En d’autres termes, les peuples arabes, libérés de la chape de plomb à la fois des tyrans mais aussi de l’obscurantisme religieux, sauront faire le départ entre le spirituel et le temporel, l’Etat et la religion, et comprendront enfin la notion même de laïcité qui permet à toutes sortes de gens, différents les uns des autres, de vivre ensemble.
Mais revenons, pour finir, au président Sarkozy qui a prouvé qu’il était en mesure de coaliser et de diriger, avec calme et efficacité, un effort militaire contre un oppresseur de son propre peuple. Cette occasion lui aura permis de montrer, à la face du monde entier, qu’il a l’étoffe d’un véritbale homme d’Etat : calme et déterminé.