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  • L'AFRIQUE ET L'EUROPE



    Comment faire pour parchever les relations entre nos deux continents? L'Afrqiue compte aujourd'hui près de 900 millions d'habitants dont plus de la moitié ont moins de vingt ans et où le salaire moyen est d'environ… un euro par jour! Comment faire pour empêcher cette marée humaine de déferler, au risque de sa propre vie, sur les rivages si inhospitaliers de l'Europe?

    Aujourd'hui, plusieurs décennies après la décolonisation, on ne peut plus plaider l'héritage. Les gouvernements des pays concernés sont aux commandes depuis de très nombreuses années mais leur type même de gouvernance laisse vraiment à désirer. Le président Sarkozy a eu raison de dire diplomatiquement que tous les maux de l'Afrique ne viennent pas hors d'Afrique.

    Comment expliquer que des pays aux riches sous-sols ne puissent pas donner de l'zau potable à leurs habitants? Au Tchad, un tchadien sur trois ne boit pas d'eau potable. Dans d'autres pays, non plus d'Afrique noire mais du nord, les réserves, publiques et privées de devises, dépassent celles de la France et pourtant les gens ont du mal à se loger, l'électricité ne fonctionne que par intermittence et l'eau du robinet n'est pas vraimenbt courante…

    Hier soir, le nouveau ministre français du co-développement, de l'identité nationale et de l'immigration s'est adroitemen,t présenté comme le ministre le ministre de la loi et du cœur. C'était bien vu…

    A la question de savoir s'il était moral d'expulser pendant la période estivale des immigrés clandestins ayant scolarisé leurs enfants dans nos établissement, il a répondu qu'il fallait scolariser les enfants, tous les enfants présents sur le sol de la République mais qu'il ne laisserait pas se développer une nouvelle filière d'immigration clandestine. Quel dilemme!

    Si nous parvenions enfin à fixer les immigrés chez eux en leur assurant un dévelooppement décent, tous ces cas de conscience n'existeraient pas.

  • La moralité des dirigeants politiques dans le monde



    La récente manifestation de Tel Aviv contre l'accord conclu entre le procureur général de l'Etat d'Israël et le président Katsav attire notre attention sur les qualités éthiques et dianoétiques de ceux qui nous gouvernent. En effet, Aristote, dans ses deux ouvrages de conduire à tenir par les hommes, à savoir L'Ethique à Nicomaque et l'Ethique à Eudème, parle de ces deux types de vertus: la première est, comme son nom l'indique, de nature purement morale (la raison pratique, dirait Kant) et la seconde de nature purement intellectuelle.

    Comme l'homme est un animal politique (zoon politikon) il ne peut que vivre en société et doit, pour ce faire, se donner des chefs qui le conduisent sur le bon chemin. Mais Aristote ne nous dit pas cvraiment ce qu'il faut daire lorsque les dirgeants trahissent notre confiance et / ou ne sont plus dignes de réaliser les devoirs incombant à leur charge…

    Nous ne disons ni ne sousentendons ici que le prévenu est coupable; c'est aux tribunaux de le déterminer car il pourrait tout aussi bien s'agir d'accusations calomnieuses. Les développements définitifs nous le diront peut-être un jour…

    Il avait probablement raison cet antique écrivain hébréïque, demeuré anonyme qui écrivait il plus de deux millénaires et demi, qui écrivait ceci dans un chapitre du livre des Proverbes, attribués à Salomon:
    car un être élevé en surveille un autre, et au-dessus de ces deux là d'autres surveillent.

  • L'Afghanistan



    Quelques années après l'intervention efficace des forces de la coalition agissant sur un mandat de l'ONU, l'Afghanistan n'est toujours pas pacifié. Le président Hamid Karzaï qui a la confiance des USA et de la communuaté internationale déploie des efforts courageux et louables mais ne parvient visiblement pas à aller au terme de sa mision: rétablir la loi et l"ordre sur toute l'étendue du territoire national.

    Nous reparlons de la situation dans ce pays en raison de la mort de dizaines de villageois, victimes de bombardements aériens des forces de la cioalition. Cette dernière affirme que les rebelles islamistes se cachent derrières les populations civiles et s'en servent comme d'un bouclier, les villageois et les rebelles (aussi) répondent que les forces occidentales se comportent comme en pays conquis en y pratiquant la politique de la terre brûlée…

    Où est la vérité? L'enquête le dira, nous voulons l'espérons. Mais on ne peut passer sous silence le cas de cet enfant de 6-7 ans, véritable brindille sauvée des flammes ,que les talibans avaient muni d'une ceinture d'explosifs en lui ordonnant d'apputer sur le bouton de la mise à feu lorsqu'il se trouverait au milieu d'une foule d'officiers et de soldats américains…

    La question qui se pose à nous, le dilemme auquel nous faisons face consiste à se demander quelle attitude adopter envers des gens qui n'ont pas la même culture, la même notion de la vie humaine etc… Comment combattre un adversaire qui ne respecte pas les règles? Faut-il partir et laisser l'Afghanistan à son trise sort? La question se pose avec une obsédante récurrence.