LA FUSILLADE DE LA BANLIEUE
Que s’est-il vraiment passé l’autre jour lorsque les policiers furent attirés dans un véritable guet-apens par des malfaiteurs de banlieue qui voulaient en découdre avec eux et menacer leur intégrité physique ?
D’après les rapports parus dans la presse, le véhicule des forces de l’ordre fut d’abord touché aux pneus, comme si on voulait l’immobiliser ; et c’est ensuite que des rafales de AK 47 furent tirées sur la carrosserie et le pare-brise. Il s’agit d’un acte criminel à l’arme de guerre, certes, dans des banlieues considérées comme chaudes, mais tout de même. L’affaire aurait pu se solder par des morts
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DE LA SECURITE DES ENFANTS A L’ECOLE
DE LA SECURITE DES ENFANTS A L’ECOLE
La situation sécuritaire des écoliers et des lycéens devient de plus en plus préoccupante. Comment faire pour y remédier ? La succession de faits divers, de plus en plus graves nécessite une réaction, et rapidement. On se souvient de la visite du président Sarkozy dans un établissement scolaire. Les mesures tardent à venir. Pour quelle raison ? Parce que l’Ecole, le lycée et le collège sont des lieux sanctuarisés, des lieux où l’on s’introduit chaque pour développer la culture par rapport à la nature, des lieux aux portes desquels on laisse sa haine de soi ou de l’autre, ses excès, ses valeurs caractéristiques pour ne croire qu’en celles de la République. Des lieux où l’on se respecte, où la seule hiérarchie qui compte est celle de l’intelligence et du savoir. -
INDIGENES
INDIGENES
FR3 a diffusé ce jeudi le film Indigènes qui montre l’action des soldats issus des colonies d’Afrique du Nord et d’Afrique noire en faveur de la France au cours de la seconde guerre mondiale. On se souvient que le président Jacques Chirac avait assisté à la projection de ce film.
Incontestablement le film touche le spectateur et pose d’innombrables problèmes d’ordre moral. Promesses non tenues, sacrifice de soldats venus d’ailleurs, discriminations de toutes sortes, traitement défavorable, protestation de soldats prêts à sacrifier leur vie pour se faire accepter par celle qu’ils considéraient comme la mère patrie, la France.